Le 3 décembre, le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) basé à La Haye sera placé sur le banc des accusés, à Paris. Saisi depuis mai 2005 d'une demande en réparation déposée par cinq victimes bosniaques – une procédure sans précédent en France -, le tribunal de grande instance de Paris, devra statuer sur un "incident de procédure". Le TPIY refuse en effet de signifier à l'ex-chef politique des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic, incarcéré à La Haye depuis le 30 juillet, l'assignation dont il est l'objet aux côtés de Biljana Plavsic, Momcilo Krajisnik et Ratko Mladic.
MJ
Daquin
Sauf que l’essentiel, dans l’article, est que les Kovac réclament 1M€ aux Serbes de Bosnie et éventuellement un durcissement de la peine (telle quelle, 11 ans) de Plavsic, leur dirigeante à l’époque, en disant (ah, argument évoquant les HLPSDNH) qu’elle a théorisé une infériorité génétique des Bosniaques non serbes.
Bah, quand un Mauritanien théorise la soumission des Harratines ou qu’un Sénégalais adepte d’Anta Diop version dure théorise supériorité et infériorité, on ne leur dit rien…