C’est l’argument principal derrière la suppression des vétos au Conseil européen, qu’évoquait Michel : depuis l’élargissement de l’UE, et avec les règles actuelles, il ne serait plus possible de prendre des décisions et "faire avancer l’Europe" .
Mais ce constat est faux, rapportait The Economist du 14 avril :
Une étude publiée par Sciences Po Paris affirme qu’au total l’UE a adopté de nouvelles règles et réglementations 25% plus vite depuis l’élargissement.
Attendons-nous pourtant à voir les protagonistes du débat télévisé de ce soir rivaliser d’idées pour résoudre un problème qui n’existe pas.