De Michel de Poncins :
"Les médias se lamentent sur l'échec de la conférence de RIO, censée marquer le vingtième anniversaire du premier sommet de la terre. Elle réunissait moins de participants que les parlottes antérieures. Selon la vulgate officielle, la planète serait en danger et faute d'accord international le danger perdurerait. En fait il n'y a pas eu d'accord sinon à minima. Réjouissons nous de cet échec qui éloigne le vrai danger, en vue, à savoir les progrès d'un pouvoir dictatorial mondialiste.
La chimère du réchauffement climatique affirme qu'il y a un réchauffement et qu'il est dû aux activités humaines et non au soleil ou autres manifestations de la nature. Cette double affirmation est contraire aux faits. Des milliers de savants américains ont envoyé une pétition à Obama pour le mettre en garde contre les erreurs ainsi formulées et les conséquences dévastatrices qu'elles pourraient avoir pour l'économie américaine ; Obama, d'ailleurs, n'est pas venu à RIO, ni Angela Merkel. […]
Une chimère reposant sur un pur mensonge au départ, peut se consolider au fur et à mesure du temps jusqu'à devenir du béton ; nul, alors, ne se soucie plus d'aller aux sources pour vérifier. Les personnes qui tirent avantage de la chimère du prétendu réchauffement sont très nombreuses. Il n’est pas possible de faire une carrière paisible dans un domaine scientifique, quel qu'il soit, si l'on marque du scepticisme vis-à-vis du réchauffement climatique et de ses causes humaines : les éditeurs se dérobent et les postes intéressants vous échappent.
[…] Chaque réunion est l'occasion de belles vacances pour les milliers de participants. Ces vacances ont lieu dans des lieux prestigieux, ceci, aux frais des contribuables du monde entier, transportés à grand renfort de CO2.
A l'abri de la chimère, les efforts pour l'installation d'un pouvoir totalitaire mondial sont manifestes. Avant RIO, l'ONU a affirmé que c'était pour la communauté internationale « une opportunité historique », permettant de définir « des voies plus sûres » pour s'acheminer « vers un monde plus propre, plus écologique et plus prospère pour tous ». C'était les termes du Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires économiques et sociales, Sha Zukang, lors d'une conférence de presse au siège de l'ONU, à New York.
Il a rappelé que les États membres de l'ONU s'étaient entendus par une résolution de l'Assemblée générale sur les trois objectifs prioritaires de Rio 2012 -renouveler l'engagement politique international en faveur du développement durable, évaluer les progrès réalisés et les lacunes qui persistent dans la mise en œuvre des engagements préalablement convenus, et relever les nouveaux défis qui ont émergé. […]
Derrière toute ces manigances, c'est bien l'installation d'un pouvoir totalitaire mondial qui est visé avec l'ONU au centre de la toile. Ce n'est, certes, qu'un des aspects de ce mouvement, mais il est déterminant. Les effets sont dévastateurs. Les coûts gigantesques engagés dans la chimère dépassent l'imagination. Il s'ajoute les dégâts occasionnés par les interventions étatiques. En effet, tous les États, même plus ou moins réticents, sont poussés par la propagande pour agir dans le sens de la chimère mondiale.
La seule façon de réagir aux changements du climat, s'ils existent, est de créer de la richesse. Cette richesse permet aux gens de s'adapter et elle ne peut se créer que dans la liberté. L'échec de RIO est en quelque sorte une victoire de la liberté."
Gualtiero
Non, il n’est pas possible dans un monde fini de produire une croissance infinie.
Si chaque être humain avait le niveau de vie d’un occidental, dans quel état serait notre petite planète ?
Le dogme de la croissance illimitée est aussi funeste qu’illusoire. La Genèse nous invite à être intendants de la Création, et non pas à l’exploiter jusqu’au saccage.
Le productivisme propre au modèle économique actuel détruit la Création, justement parce qu’il est fondé, comme toutes les idéologies mortifères, sur le refus de toute limite : l’homme reniant son état de créature finie et dépendante prétend se faire Créateur absolu.
Du gender au technicisme, de l’avortement à l’agriculture de mort, c’est la même utopie de l’homme fait Dieu, du “Non serviam”.
Qu’il y ait ou non réchauffement climatique, que celui-ci soit ou non d’origine humaine, ne change finalement rien à l’essentiel : protéger la Création, c’est revenir à des modes de vie plus simples, plus sobres, plus proches de la nature, c’est-à-dire plus évangéliques !
L’authentique écologie chrétienne promue par l’Eglise n’est pas compatible, qu’on le veuille ou non, avec le productivisme sans frontières.
Jean Theis
On peut avoir un mode de vie simple et constater que depuis 15 ans on est plutôt dans une phase de refroidissement de la planète – même si nos glaciers reculent, car ailleurs ils augmentent.
Le réchauffage c’est surtout un bon filon pour certains de faire des fortunes sur de fausses déclarations qui apeurent les non-initiés. Il suffit d’un été torride !
clovis
OUI jean Theis. Et ça permet à l’état français de gaspiller 44 milliards d’euros par an suite au Grenelle de l’environnement grâce à NKM qui y paradait comme une dame patronesse.