D’après les données de Transplant Québec, « près de 15% » des donneurs d’organes « ont préalablement eu recours à l’aide médicale à mourir » en 2022.
Outre le Québec, la Belgique, les Pays-Bas, le Canada et l’Espagne autorisent le don d’organes après une euthanasie ou un suicide assisté.
Ainsi, de même que le nombre d’euthanasies est en croissance, le nombre de donneurs d’organes a triplé au cours des cinq dernières années. L’année dernière, Transplant Québec a recensé un « nombre record » de demandes. 483 Québecois ont reçu un don d’organes. Martine Bouchard, la nouvelle directrice générale de Transplant Québec, ne cache pas son intérêt :
« Il s’agit non seulement d’une occasion d’augmenter le nombre de donneurs d’organes au Québec, mais aussi d’une opportunité incroyable de permettre à un plus grand nombre de personnes de bénéficier d’une greffe » .
jlmont
les pièces de rechange de l’homme dit “augmenté”?
AFumey
“Y’a pas de petits profits!”
Surtout des gros. A-t-on une idée des profits réalisés par les fabricants de cosmétiques à partir de la “matière première” collectée dans les avortoirs?
Gilles Tournier
“La mort, c’est la vie !”
“Tuer, c’est offrir une chance !”
1984, Georges Orwell.
Nous y sommes en plein dedans avec le Ministère de la Vérité, la relecture historique permanente et la dictature totalitaire.
Bientôt “les 2 minutes de la haine” chaque jour, contre la Russie…
zongadar
Sans compter qu’un organe est beaucoup efficient quand il est frais, c’est à dire prélevé ‘vivant’…l’euthanasie permet la programmation de l’acte pour se faire.