Au cours de la session du Saint-Synode de l’Église orthodoxe de Chypre, le 6 mars, une déclaration a été faite au sujet du projet de loi du gouvernement chypriote concernant
l’union libre de personnes de sexe différent ou identique :
[…] 1. Pour l’Église, il est impossible que soit acceptée la cohabitation de deux personnes en dehors du sacrement du mariage.
L’union de l’homme et de la femme a pour but la perfection spirituelle
des époux et, pour cette raison, leur relation se réfère, par le
sacrement du mariage, à la relation du Christ et de l’Église.2. La doctrine chrétienne, a fortiori, ne peut justifier l’homosexualité,
ni accepter la cohabitation de personnes homosexuelles. La sainte
Écriture mentionne deux sexes « masculin et féminin », qui ont été créés
par Dieu. Et l’Église conseille à ceux qui ont des penchants ou une
dépendance envers l’homosexualité, à lutter pour s’en délivrer, de la
même façon que l’on lutte contre d’autres passions.3. Même si l’on acceptait la
justification du projet de loi pour la raison qu’il vise à légiférer sur
les problèmes sociaux de personnes qui n’appartiennent pas à l’Église,
le fait même qu’il prévoit de régir la cohabitation de même sexe
constitue une perversion totale. Nous sommes de l’opinion que les lois
doivent avoir pour but ni simplement la régulation des différents
sociétaux, ni la satisfaction des désirs des hommes, mais principalement
leur éducation. A fortiori, les lois ne sauraient élever une déviation
au degré de règle de droit.4. Une législation étrangère aux mœurs
de notre peuple ne devrait pas influencer les fidèles. Or, même chez les
peuples qui n’ont pas le problème de survie nationale, de telles
législations atténuent la sensibilité morale des hommes et contribuent à
la dissolution de la société. L’introduction de telles situations sera
encore plus destructrice pour notre peuple, qui lutte pour sa survie
nationale mais aussi physique sur sa terre ancestrale. Nous serons
conduits à la dissolution de la famille, qui constitue la cellule de
notre société et à la corruption des mœurs ».
Olivier
A ce sujet, voici une très bonne analyse de l’utilisation du terme d'”homophobie” que l’on jette systématiquement à la figure de quiconque ne voit pas l’homosexualité et ses corolaires comme un “progrès” pour le faire taire:
http://www.dicopsy.com/dictionnaire.php/_/psychologie-politique/homophobie
Le même site propose une approche des causes de l’homosexualité qui mériterait le débat que le système politico-médiatique nous refuse:
http://www.dicopsy.com/dictionnaire.php/_/pathologies-sexuelles/homosexualite
jejomau
Il est bien dit qu’il s’agit d’une “perversion totale”. To-ta-le. A faire suivre ici à qui de droit : http://www.annuaires.justice.gouv.fr/contact.html
louis
On ne peut qu’être d’accord, sur la question des moeurs, l’Eglise ne peut encore que parler vrai, le contraire (ou la moindre concession) serait trop flagrant, celà effacerait des passages entiers de l’Ecriture Sainte et juifs ou mususlmans sont là pour “garder cette morale” de façon radicale et sévère, sans qu’aucun lobby gay n’ose les attaquer.
Soleo23
“Des malades vivant dans la péché”. Paroles de pape. Alors! Quand on est malade, on se fait soigner. Mais ils paraissent se complaire dans leurs pratiques monstrueuses. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent ou se qu’ils peuvent, mais qu’ils nous foutent la paix! Ils sont en train de se faire détester.