La CGT aime au moins un patron, le sien, dont elle n'a pas seulement rénové l'appartement et le bureau pour la modique somme de 192 000 €. L'Express révèle que quelques semaines avant de prendre la tête du syndicat, Thierry Lepaon a signé une rupture conventionnelle avec… la CGT en Basse-Normandie, touchant ainsi des indemnités de départ comme n'importe quel salarié poussé vers la sortie. Car voyez-vous, le comité régional et la maison-mère, ce sont deux employeurs différents.
Depuis sa création en 2008, la CGT dénonce le dispositif des ruptures conventionnelles, qu'elle juge trop favorable aux employeurs. En ce qui la concerne, il y a lieu d'en douter.
Alpin
On aimerait connaitre le montant de l’indemnisation, merci ?
Cela me rappelle un autre cas qui a eu lieu chez ” Air France “. Encore presque mieux que cela. Je connais un technicien de cette compagnie aérienne qui s’est “fait licencier ” la veille ” ……….de sa retraite !!!
[Thierry Lepaon ne se souvient pas du montant…
L.T.]
Papon
Entre coquins on se comprend toujours.
Ethos
Excellent titre!
Une allusion sans doute à l’opération Market Garden et au fiasco sanglant du pont trop loin.
logorrhée
Je ne sais pas si Lepaon fait la roue mais il nous roule bien tous !
n
La CGT n’aime pas les patrons qui n’aiment pas le peuple. Or, la CGT, c’est le peuple. Le peuple ne peut donc pas aller contre lui même. Donc toutes ces subventions sont bonnes puisqu’elles ont pour but le peuple.
C’est pour cela que la grève était punie de la peine de mort en Europe de l’Est sous le communisme : les grêvistes agissaient contre le peuple, et étaient donc des traitres.
Dire le contraire est aussi fascisant que penser que les démocrates Pol Pot ou Kim Jong Il seraient des dictateurs.
cril17
Et voici notre nouveau bestiaire armorié, grâce à la CGT ! …
http://cril17.fr/