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6 commentaires

1. 

   ID 8 décembre 2014, 9 h 19 min

   Ah, ces pondeurs de réglementations… Zont jamais travaillé de leur vie, c’est ça ?

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2. 

   PK 8 décembre 2014, 11 h 25 min

   Réglementation typique qui n’apporte rien, coûte énormément aux entreprises et ne font finalement vivre qu’une cohorte de parasites, essentiellement fonctionnaires ou assimilés (élus (pour pondre ce genre d’ânerie), fonctionnaires (DREAL SDIS) pour les visites et imposer des changements à la noix (je connais, j’en ai fait partie… selon que le gars qui s’en occupe est un c… ou pas, ça peut devenir dramatique ou pas pour l’entreprise ou la collectivité ciblée !), etc.)
   Résultat : une entreprise qui fonctionne bien, fait du bénéfice, procure de l’emploi et des richesses va devoir trouver énormément d’argent sans aucun espoir de retour sur investissement autres qu’avoir la paix avec tous ces parasites sectaires que sont devenus ces ayatollahs qui font appliquer (et qui créent) la réglementation !

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3. 

   JME 8 décembre 2014, 14 h 32 min

   1) Ceux qui écrivent la réglementation sont de moins en moins ceux qui la font appliquer d’où une disproportion dans certains cas entre les exigences et les risques réels.
   2) La réduction des effectifs des fonctionnaires sans réfléchir aux missions de l’Etat conduit à parfois affecter des gens sur ces postes qui n’ont plus le bagage technique pour faire preuve de discernement par rapport au texte.
   3) Dans le cas d’espèce, le site est actuellement en ville, avec un lycée à proximité. Je rappelle qu’on parle d’alcools forts, donc liquides inflammables comparables à des carburants. Combien sont venus pleurer (à raison) après AZF contre ces industries situées en pleine ville…

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4. 

   toutatis 8 décembre 2014, 19 h 38 min

   La qualité du produit risque de se dégrader.
   Il faut éradiquer cette Europe le plus vite possible.

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5. 

   JEJ 8 décembre 2014, 21 h 16 min

   Pas sur que les normes soient respectées au Château…

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6. 

   Jacques CORBET 8 décembre 2014, 21 h 47 min

   Nous pouvons faire confiance à l’intelligence et à la sagesse des chartreux qui surent traverser tant d’épreuves pour trouver le lieu approprié à la production de la liqueur. Ainsi, après le dramatique glissement de terrain qui engloutit leur usine en 1935, surent-ils créer à Voiron l’usine que nous connaissons aujourd’hui. Quelque soit la réglementation technique mise en oeuvre et sa nécessaire évolution, je suis persuadé qu’en aucun cas la qualité ne se perdra ! j’invite les lecteurs du salon beige à découvrir ou à redecouvrir le musée de la chartreuse de Voiron avec la visite des caves mais également le très beau musée de la Correrie tout près du Monastère à Saint Pierre

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