Alors que l’application thérapeutique des cellules souches embryonnaires s’avère toujours nulle, Jeanne Smits rapporte que l’utilisation de cellules et de tissus provenant de fœtus avortés est
de plus en plus répandue aussi bien dans l’industrie du médicament (et
spécialement celle du vaccin) que dans l’industrie cosmétique. Elle fait ainsi ce constat :
"Ce serait donc avant tout un choix idéologique, une obsession autour des cellules souches embryonnaires."
Pire : les cellules souches embryonnaires se tranforment en tumeurs
cancéreuses lorsqu’elles sont implantées chez des adultes ; c’est dans
leur essence même. A l’inverse, les cellules couches adultes, isolées au début des années
1990, sont déjà employées pour soigner des milliers de personnes.