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Culture de mort : Avortement

Les conséquences de l’avortement sur la santé mentale des femmes

Les conséquences de l’avortement sur la santé mentale des femmes

Alors que les Etats américains, qui votent des lois autorisant l’avortement au-delà du délai de viabilité du fœtus, affirment vouloir « protéger la santé mentale des femmes », une étude publiée récemment indique que « ces procédures aggravent la situation, au lieu de l’améliorer ».

Ainsi, les femmes qui ont interrompu leur première grossesse ont eu un recours plus important à des traitements visant à améliorer la santé mentale que celles dont la première grossesse s’est terminée par un accouchement.

Les chercheurs ont examiné les données relatives aux demandes de remboursement de plus de 4 800 femmes inscrites à Medicaid entre 1999 et 2015 dans sept Etats

« où des fonds publics ont été utilisés pour payer des avortements et où toutes les demandes de remboursement pour l’ensemble de la période ont été soumises ».

L’étude a révélé que les femmes dont la première grossesse s’est terminée par un avortement étaient 3,4 fois plus susceptibles de recourir à des consultations externes, 5,7 fois plus susceptibles d’être hospitalisées et 19,6 fois plus susceptibles d’avoir des séjours plus longs à l’hôpital pour des services de santé mentale. Des différences qui ne sont pas explicables par les antécédents médicaux, affirment les chercheurs.

Pour James Studnicki, auteur principal de l’étude, cette dernière vient confirmer les résultats d’études antérieures menées en Finlande, en Italie, en Chine, en Allemagne, en Corée du Sud et aux Etats-Unis, ayant établi un lien entre avortement et augmentation de l’anxiété, de la dépression et du suicide.

En utilisant les mêmes données Medicaid, les chercheurs avaient observé dans une étude précédente que les femmes ayant avorté leur première grossesse « avaient plus de grossesses, plus de fausses couches, et plus de quatre fois plus d’avortements » que celles dont la première grossesse s’est terminée par une naissance vivante.

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1 commentaire

  1. L’avortement organisé par l’Etat joue sur la santé mentale des femmes, des hommes, des enfants nés et à naître. Cela permet de tuer les vieux aussi. Ce matérialisme posé sur le dogmatisme satanique de l’IVG crée un nihilisme ambiant qui permet à moyen terme le retour de l’esclavage dans la cité ou entre nations. Quel lien y a-t-il entre les protestantismes qui nient la présence réelle et le meurtre des bébés ?

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