Lu sur le site des Etudiants pro-vie :
"Lorsque l’on légifère, il faut toujours s’interroger sur les conséquences. Dans le cas de l’euthanasie, nous n’avons pas besoin d’imaginer les conséquences, il nous suffit de les constater! En effet, des lois autorisant le personnel médical à donner la mort existent déjà en Suisse, aux Pays-Bas et en Belgique. Voulez-vous connaitre les conséquences? Aux Pays-Bas, les personnes âgées se ruent dans les maisons de retraite de la frontière allemande où l’euthanasie est interdite. Pourquoi? par peur d’être tuées par des soignants ou sur demande des proches pris dans un élan de « compassion », ou tout simplement souhaitant avancer le RV avec M. le notaire. En Suisse, des personnes dépressives ou que l’on pouvait guérir ont été euthanasiées. En Belgique, les scandales ont révélé l’euthanasie d’une centaine d’enfants alors que cette pratique est interdite sur les mineurs. Pourtant lorsque ces lois furent votées, un encadrement stricte de la pratique était prévu. […]"
Thadée
Le plus grand scandale n’est pas que les mauvais fassent le mal.
C’est plutôt que les bons ne fassent pas le bien.
Ce déchaînement du mal est une occasion, permise par la divine Providence, pour que les bons se réveillent enfin de la léthargie libérale, et fassent enfin des œuvres bonnes.
L’éducation nationale pervertit les enfants ? eh bien faisons des écoles libres catholiques !
Les hôpitaux achèvent les mourants ? Eh bien faisons des hôpitaux catholiques !
L’heure n’est pas aux pleurnicheries, mais à l’action.
Exupéry
@ Thadée
Oui, mais avant même que les catholiques puissent faire du bien, il faudrait qu’ils sachent voir le mal en face et s’en indigner à la mesure de son ampleur et de sa progression.
Beaucoup se contentent de dire, d’un air las (en pensant aux comportements de leurs descendants…) “bah, maintenant c’est comme ça”!
Ce “maintenant” ne saurait perdurer, car il est mortifère.
senex
Mon Dieu délivrez-moi de ceux qui me veulent du bien…sans me demander mon avis…