Le Dr Bayle analyse les conséquences psychiques et identitaires qui découlent d’une procréation médicalement assistée et invite à la réflexion sur des aspects peu connus de cette pratiques : l’enfant a-t-il une dette de vie à l’égard du personnel médical ? Le mode de conception d’un enfant affecte-t-il sa construction psychique personnelle ?
Les conséquences psychiques et identitaires qui découlent d’une procréation médicalement assistée
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mouette
Bravo au Salon Beige de mettre en avant cette analyse ! cette question est très mal étudiée dans les milieux catholiques qui glissent souvent vers : “la PMA, d’accord pour les époux qui ont du mal à avoir des enfants, mais pas pour les autres”, ce qui n’est pas catholique, donc n’est pas bon pour l’homme dans toute son acception.