"Les négociations entre partenaires sociaux sur la réforme des retraites complémentaires se poursuivent. Les majorations de pension pour les parents de trois enfants et plus sont au cœur des discussions. A cette occasion, la CNAFC tient à rappeler avec force que concevoir ces majorations comme des « avantages familiaux » est erroné et trompeur.
La finalité des majorations est uniquement de permettre à celles et ceux qui se sont arrêtés de travailler pour élever leurs enfants (ou ont réduit de façon significative leur temps de travail) de disposer d'une retraite suffisante et proche de celle d'un ménage où les deux conjoints ont travaillé.
Comme elle l'a écrit aux partenaires sociaux, la CNAFC estime que la réforme nécessaire qui doit être conduite pour assurer la pérennité du système de retraites doit en particulier répondre aux incertitudes qui pèsent sur les familles. Ceux qui aujourd'hui par leur choix décident de l'équilibre futur du régime des retraites doivent entendre ce message."
Les familles sont les pivots du système de retraites
2 commentaires
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Corso
Je suis désolé de dire à ceux qui croient encore aux promesses du global parti socialiste et gauliste que le régime des retraites n’est certainement pas assuré et ne le sera pas sans une autre forme d’organisation !
Voyons, nous travaillons, par procuration, en 1 pour 1 et cela à quelques variations minimes a toujours été le cas.
Armé de mensonges et d’un découpage délirant, le global parti de l’après guerre nous a tout simplement proposé un schéma PONZI.
Certains ont même dit que les immigrés allaient payer nos retraites alors que c’es nous qui allons payer les leurs.
Il serait temps de s’en rendre compte pour éviter des dérives encore plus grandes.
Ainsi comment par simple bon sens de calcul imaginer qu’en cotisant 200 par mois l’on va bénéficier de 800 pour sa retraite !??
Certains se paient même le luxe de demander une réduction des “charges” qui ne sont en réalité que des participations nationales légitimes.
[Discuter de leur bon emploi est une autre question]
Les cotisations de “charges” prennent alors une forme déviée en lieu et place du budget de l’état comme amortisseur social qui profite en réalité aux très grandes entreprises exonérées ainsi de leur devoir.
[Devoir non pas au sens “communiste” mais parce qu’elles ont bénéficié d’importants privilèges d’état dont il seraient bon qu’elles restituent l’avance]
On donne des “droits” à des personnes qui n’ont pas côtisé, sans examen a minima de leur situation de fortune, on en “indemnise” d’autres a gré du bon vouloir du gouvernement… sur notre compte !
Voila pourquoi il est nécessaire que l’action ne soit pas d’état comme le demandent certains mais “privée” c’est à dire aux français gérant LEUR argent.
Ainsi, avec l’étatisme délirant, nous allons faire 42, 47 jusqu’à 50 ans de travail forcé et ce ne sera toujours pas suffisant.
Puis les élites diront qu’elles ont “réfléchi” et qu’il faut faire autrement, c’est à dire le contraire, la capitalisation sera alors à la mode : une solution à crédit payant pire que la précédente !
Attendrons nous de passer toutes ces étapes pour comprendre que l’on nous trompe ?
Tristement, je pense que oui.
Xavier Soleil
Il faut oser appeler “partenaires sociaux” les représentants de ces lobbies ringards !