C'est ce qu'a déclaré le président de la commission européenne Jean-Claude Juncker devant quelques Autrichiens de l’université des médias d’Alpbach :
«Nous devons combattre le nationalisme. Nous avons le devoir de ne pas suivre les populistes et de bloquer leur venue au pouvoir ». « Les frontières sont la pire invention politique»
L'homme qui assurait avoir « rencontré des dirigeants d’autres planètes » ne digère visiblement pas le Brexit ni le réveil des peuples d’Europe face à l’oppression mondialiste.
Le bureau de presse du premier ministre britannique a réagi :
« Ce n’est pas une chose avec laquelle le premier ministre serait d’accord (…) Le peuple anglais estime que les frontières sont importantes, et qu’avoir une meilleure maîtrise de nos frontières est important. »
En France, il n'y a pas eu de réactions du gouvernement.