A l'occasion des 40 ans de la loi Veil, le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé vouloir "assurer une meilleure information des femmes sur leurs droits, faciliter le parcours de celles qui souhaitent". Malheureusement, aucune aide ou solution alternative ne sera proposée aux femmes qui souhaiteraient en réalité, au fond de leur coeur, conserver leur enfant.
Famille Chrétienne comble cette lacune et "dresse la liste des initiatives qui disent non à l’IVG et proposent de l’aide aux femmes en détresse" que ce soient les maisons d'accueil, les réseaux d'écoutes téléphoniques, les accompagnement suite au traumatisme post-avortement.
seb
@ P. Carhon : disons que l’IVG coûte infiniment moins cher au Gouvernement que mettre en place une politique volontaire en la matière.
Les initiatives énoncées sont intéressantes je trouve, mais ne règlent pas (gros problème) ce qui peu amener les (jeunes) femmes à l’IVG :
-la déception amoureuse, suite à la fuite lâche des pères.
-l’autonomie financière après l’arrivée de l’enfant.
-la mise en parenthèse des études ou/et de la vie professionnelle.
De mon point de vue, il me semble que l’on pourrait trouver un écho favorable auprès desdites (jeunes) femmes, en militant pour (c’est toujours mieux que contre !) :
**la reconnaissance de l’obligation pour le père (connu comme l’homme désigné par la future mère/test ADN sinon) de pourvoir aux besoins de la future accouchée pendant sa grossesse, sur le plan financier notamment.
**la prise en charge partielle du coût de “l’école à domicile” pour ces (jeunes) filles, en vue de leur éviter la mise en parenthèse de leurs études.
**une allocation familiale dès le premier enfant, au titre de l’égalité en droits.
Ce n’est pas le Pérou mais ce serait déjà bien !
Pillet H.
Dommage que Famille chrétienne ne donne pas les coordonnées de “SOS Maman” de Monsieur Wuermelin.