Le Point fait sa Une en titrant : "Ces bien-pensants qui veulent nous rééduquer". Et le dossier ne nie plus une évidence : la théorie du genre influence la politique actuelle.
"L'atmosphère néopuritaine dans laquelle nous baignons n'est pas étrangère à l'influence, relativement récente en France, de la théorie du genre".
Marie-Hélène Florentin
analyse faite dès 2012 par jean claude guillebaud (la vie vivante) qui voyait déjà dans ces nouvelles idéologies (gender + transhumanisme) un grand refus du corps “vivant” .
trahoir
Le PS et ses amis revisite le mythe du bon sauvage qui devait tout compte fait être un bisexuel hermaphrodite (demi pléonasme).
anonyme
Dans la logique de la théorie que l’ enfant à la naissance est ” une page blanche “.
L'anarcho
Quand je vois tous les efféminés à Paris je me dis que la théorie du genre a déjà gagné.
isabelle
«Les mouvements totalitaires sont des organisations massives d’individus atomisés et isolés.» – Hannah Arendt
Semper Fidelis
Les promoteurs de cette ahurissante bêtise (la théorie du genre) et leurs soutiens sont pour moi des cas relevant de la psychiatrie lourde. Un tel refus de la nature et son incontournable différence sexuelle fait courir à notre cher vieux pays un risque grave : celui de disparaître et d’être remplacé par des sociétés qui elles, ne doutent pas une seconde de leur légitimité et de leur droit ! L’exemple de Rome doit nous faire réfléchir…
gotan
Répugnante, rance et nauséabonde, telle est la théorie du gender.
salagouducro
leur goulag c est le 93 …ou Marseille ? ?
Oh !
Semper Fidelis,
malheureusement, je crains que la psychiatrie ne puisse rien contre ce problème.
Parce que la psychiatrie ne guéri pas grand-monde et certainement pas le goût de la manipulation et le narcissisme infantile.
la citation d’Hannah Arendt par Isabelle, me semble plus médicinale, le problème c’est l’individu atomisé et isolé.
comment en finir avec lui ? En faisant réellement société.
le totalitarisme inculque la défiance vis à vis de l’autre. Il faut donc toujours prendre le risque de rencontrer des personnes, même si l’on ne croise que des “individus”. Car une société est basée non sur l’intérêt, bien ou mal compris d’ailleurs, mais sur un rapport désintéressé à autrui. Ce qui nous faut, ce sont des relations seines, des amis.
amicalement,
Oh