Dans Le Jour d’après, Philippe de Villiers raconte, à partir d’informations glaçantes, notre avenir post-crise sanitaire. Le masque pour tous est un prélude à la vaccination, elle-même prélude à l’identification numérique puis au marquage humain, avant l’ère transhumaniste.
Lors d’un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019, soit avant la crise, les géants du capitalisme de surveillance anticipaient la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans frontières, mondialiste. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s’y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir. Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d’opportunité ». Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d’essai l’idée d’une « société disciplinaire ». Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d’après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total.
A ce titre la société du numérique, avec les GAFA, rejoint la cancel culture, l’idéologie indigéniste, le mouvement Black Lives Matter dans un projet d’effacement du passé, de négation des identités, pour une grande réinitialisation, le Great Reset, vieille idée prométhéenne :
C’est la vieille idée ainsi recyclée de faire naître un homme neuf, débarrassé des anciennes pesanteurs. Cette “remise à zéro”, préconisée par le Forum économique mondial, en juin 2020, prépare un nouveau monde où plus rien ne sera comme avant. Le Great Reset est une sorte de “Grand Soir” biotechnologique qui a pour vocation de faire entrer l’humanité et la planète dans une phase de régénération inédite et salvatrice.
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