Un clip de rap, dévoilé sur Youtube, suscite la polémique. Tourné dans les rues de Lille, le rappeur exhibe notamment des armes de guerre en pleine rue. Des figurants exhibent eux-aussi, comme des trophées, des armes à feu et des liasses de billets.
Mais il faut arrêter les personnes qui font du vélo ou des montages photos.
Exupéry
Petite précision concernant les paroles menaçantes de cette provocation illégale:
“J’ai un glock chargé…”
Ce n’est pas de l’argot : Glock = pistolet de guerre, à chargeur de grande capacité, pouvant même tirer en rafales!
Mais gare à vous si vous n’avez pas déclaré la vielle 22 Long-rifle du Grand-Père !!
Pauvre France livrée a ses ennemis…
DUPORT
C’est dans la politique actuelle, protéger les racailles et persécuter les honnêtes gens.
L’arrestation de quelques jihadistes (qu’on a soigneusement laissés partir et probablement même aidés) ne doit pas donner le change, ce n’est que de la poudre aux yeux.
Les banlieues sont surarmées et l’impunité règne partout.
venturi
Une fois de plus, la milice préfère arrêter les veilleurs, les poussettes et les mères de famille.
Les rappeurs de banlieues anti France et surarmés, c’est plus risqué.
Pour sûr, ça c’est sûr !
Cette corporation est à pleurer !
Edouard
Tetes de premiers de la classe, rimes riches, paroles recehrchées, finesse et délicatesse, aude au travail et à la méritocratie, ces jeunes forcent l’admiration …..
C’est semble t-il moins risqué de faire un contrôle d’identité à un cycliste portant un drapeau LMPT que d’arrêter ces voyous qui détiennent illégalement des armes de guerre. Mais ne stigmatisons pas, laissons les finir de salir et pourrir la France selon le souhait de nos élites protégées.
Louis de Constance
J’ai le pressentiment qu’à l’heure de l’alternance, la réaction populaire sera violente, semblable dans l’esprit et dans les actes à août 44…
qi
“« On est en 2014, faut se réveiller, toute la France est comme cela. Le clip est trash, mais notre vie est trash… Et c’est rien à côté de ce que Kaaris fait (rappeur français et référence). Lui, on lui fout la paix… »
Du flow, « pure street », « mon quartier, c’est Moulins », reprend Maestro, 21 ans, dont les sources d’inspiration puisent à l’enfer urbain. « Avant de le chanter, il faut le vivre et quoiqu’il arrive, cela se termine au trou. » Sur les armes exhibées en pleine rue ? Quelques sourires… « Rien de grave, c’est juste un clip. » Tourné les 26 et 27 avril, celui-ci aurait vu le passage des forces de l’ordre de l’aveu de quelques participants. Pas de quoi perturber les figurants. Tractions. « Le deuxième clip sera encore plus lourd », promettent-ils. « On n’est pas là pour blaguer », Peu inquiet d’éventuelles suites judiciaires lorsqu’on lui annonce que l’entourage de Martine Aubry la déclare « choquée par l’image donnée de la ville ».
Pas de quoi impressionner pour autant le procureur de la République, qui a demandé l’ouverture d’une enquête préliminaire, confiée aux policiers de la Sûreté départementale. On n’a pas fini d’entendre Maestro.” (article de La Voix de Nord http://www.lavoixdunord.fr/region/le-rappeur-lillois-maestro-revient-sur-son-clip-ia19b57396n2140701)