Les collaborateurs de l’invasion montrent leur vrai visage :
Des échauffourées entre gendarmes et une centaine d’activistes de l’ultragauche ont éclaté samedi après-midi sans faire de blessé à la frontière franco-italienne, au col de Montgenèvre (Hautes-Alpes), où des militants antifascistes avaient permis en avril le passage en France d’une vingtaine de migrants.
Ces affrontements se sont déroulés durant « deux heures », au-dessus du terrain de golf de la commune, en marge d’un rassemblement pro-migrants de cinq jours en Italie. Baptisé «Passamontagna » (passe-montagne), l’événement a regroupé près de 500 personnes parmi lesquelles une majorité d’Italiens, mais aussi des Français, des Espagnols, des Allemands, des Hollandais et des Autrichiens, selon une source proche des autorités.
Environ 100 à 150 manifestants, « visage masqué pour la plupart d’entre eux », se sont alors livrés à « des violences inacceptables » contre les forces de l’ordre, avec des jets de « pierre tendus avec des frondes », « des fioles d’acide » et l’utilisation d’« explosifs agricoles et artisanaux », a précisé la préfète des Hautes-Alpes dans un communiqué, en condamnant les faits « avec la plus grande fermeté ». […]