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Médias : Désinformation

Les ultra-nationalistes sont comme les chasseurs : il y a les bons et les mauvais

Les ultra-nationalistes sont comme les chasseurs : il y a les bons et les mauvais

Matthieu Kassovitz nous apprend à les distinguer :

Kassovitz fait-il référence au fameux “bataillon Azov”, fondé par le député néo-nazi Andriy Biletsy et financé par un oligarque, intégré à la Garde nationale ukrainienne en 2014, devenant le “régiment Azov”. Son drapeau reprend la Wolfsangel, emblème de la 2e division SS Das Reich, déjà repris lors de l’indépendance par le parti Svoboda qui depuis lors a changé de nom et de logo.

 

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8 commentaires

  1. Les juifs sont comme les chasseurs : il y a les bons et les mauvais

  2. Donc, pour Kassovitz et autres bobos soixante-huitards attardés, le bon nationaliste est le migrant apatride qui défend chez nous son pays, même sous un drapeau à croix gammée ; le mauvais nationaliste est le Français qui défend chez lui sa patrie sous le drapeau tricolore…

  3. Il aurait faire beaucoup de captures d’écran et de copies de vidéos sur youtube car depuis un mois un très grand nombre de photos montrant les néo-nazis ukrainiens ont disparu d’internet de même que les vidéos sur youtube. Un grand ménage se fait à toute allure. Il faut cacher certaines preuves compromettantes.

  4. Pour avoir des infos un peu impartiales concernant la guerre en Ukraine, allez sur le site Stratpol !

  5. Répéter à l’infini ce mot “néo-nazi” c’est entrer dans le jeu de la propagande de Poutine.
    L’article de LSB parle “d’ultra nationalistes”, ce qui correspond à la vérité. Leurs méthodes sont contestables, violentes, sanglantes, arbitraires, extrémistes, inquiétantes.
    Mais où sont les persécutions de juifs, les camps, les fours ? Le régiment Azov (prétendument néonazi) est financé par un certain Kolomoïsky, un juif.
    A force de voir partout le grand méchant loup depuis 1945, plus personne n’y croit.
    Par contre, comment qualifier les méthodes d’un dictateur, ex-flic du KGB et de tous les sbires sans scrupules qu’il a installés aux postes clés du régime russe ? Elles sont tout aussi brutales, violentes, sanglantes, arbitraires et meurtrières que celles des nazis. Poutine lui-même a “mis la main à la pâte”, il a le sang de victimes qu’il a lui-même torturées ou assassinées quand il était exécuteur des basses oeuvres de la police communiste. Question nazisme, il en connait un rayon…

    • Il faudrait aussi se rappeler que beaucoup de résistants de la 1ère heure qui ont rejoint De Gaulle à Londres venaient de l’extrême droite, des extrémistes patriotes, des royalistes et des cagoulards… De Gaulle ne les a pas virés à coup de pieds dans le … L’urgence du moment n’était pas à faire la fine bouche.

      • Je ne sache pas que ces gens-là qui furent effectivement très nombreux dans les premiers contingents de résistants, aient jamais arborés de tels insignes dans leurs combats politiques d’avant-guerre ni encore moins dans leurs combats de résistance!!! F-H d’Estienne-d’Orves, Action Française, a été mis à prix par les nazis et pris par dénonciation de son radio, communiste.

    • Il ne faut pas jouer sur les mots! Si pour vous on ne peut employer le mot nazi que si le programme complet est appliqué, effectivement il n’est pas approprié ici. Quoique, si l’on remplace les juifs par les russes de l’épuration ethnique, celle que pratique ces milices soutenues par le gouvernement ukrainien ajoute une caractéristique selon vos critères.
      Quoiqu’il en soit, un certain nombre de ces milices, héritières des combats de résistance d’anciens enrôlés dans les armées du IIIe Reich menés contre Staline jusque dans les années 50 (chose inconnue en Occident), reprennent à leur compte une grosse partie de la symbolique nazie. Enormément de vidéos et de photos ont été supprimées depuis un mois d’internet mais on trouvait très facilement des prises de vue actuelles (pas de vieux trucs colorisés) de miliciens ou soldats arborant fièrement des drapeaux à croix gammées, des aigles à croix gammées, des runes SS etc… J’avais même déniché un article belge je crois, daté de quelques années en arrière, déplorant que dans le cadre d’échange de formations militaires officielles en Ukraine, des officiers et sous-officiers français encadraient des militaires ukrainiens portant de tels symboles. On pourra toujours rétorquer que l’habit ne fait pas le moine, et qu’au delà des symboles, ces combattants ne partagent pas les idées nationales socialistes, mais là ça devient compliqué de tout justifier…

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