Benoît XVI d’un côté, les profanateurs de cimetières de l’autre (voir ci-dessous) : pour toute personne sensée, ce sont là deux pôles opposés du spectre humain.
Pas pour Fiammetta Venner, qui use de toutes les armes de la désinformation pour mener une guerre personnelle contre l’Eglise et ses fils. L’astuce est l’utilisation du vocable d’ "extrême droite" qui permet tous les amalgames :
Interviewer : Les théroriciens de l’extrême-droite (…) semblent avoir disparu. (…)
F.V. : Je ne dirais pas cela. (…) Chez les intégristes chrétiens, on trouve encore un Jean Madiran qui a théorisé la mise en cause de Vatican II. Son influence théorique et politique sur l’extrême-droite mais aussi nord-américaine est importante. Ratzinger, qui est un sous-produit de l’opposition à Vatican II, le cite régulièrement. Ce qui n’est pas un bon présage.
La montée en puissance du danger islamiste ne doit pas faire penser que l’extrême-droite est un vieux démon. Au contraire, elle gagne sur tous les tableaux en ce moment. Sa branche antisémite se défoule grâce à la cause palestinienne, notamment des proches d’Unité Radicale. Beaucoup de ces groupes, déçus par l’institutionnalisation du FN, se recyclent dans la profanation de cimetières juifs et mettent de l’huile sur le feu des tensions intercommunautaires. (…) (Souligné par nous; Source, via le site protestant Vox Dei)
Pour ne pas alourdir ce texte d’anthologie, je n’ai pas ajouté un "(sic !)" après chaque affirmation effarante : le lecteur pourra les ajouter lui-même.