Lors de l’Angélus, le pape Benoît XVI a affirmé :
"Le développement de la science moderne a confiné toujours plus la foi et l’espérance dans la sphère privée et individuelle de sorte qu’il apparaît aujourd’hui de manière évidente, et parfois dramatique, que l’homme et le monde ont besoin de Dieu, du vrai Dieu, sans lequel ils restent privés de l’espérance".
"La science contribue beaucoup au bien de l’humanité mais elle n’est pas en mesure de la racheter. L’homme est racheté par l’amour qui rend bonne et belle la vie personnelle et sociale. C’est pourquoi la grande espérance, celle pleine et définitive, est garantie par Dieu".