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En mars 2023 le Grand Conseil a approuvé la «Loi sur l’égalité et la lutte contre les discriminations liées au sexe et au genre». Dans cette loi “LED Genre” on parle d'”identité de genre”, etc. Or, les lois civiles doivent être basées sur la loi naturelle, sur le bon sens. L'”identité de genre” n’a pas de sens. Il n’y a que des hommes et des femmes et on ne peut pas forcer les gens à dire le contraire, sinon c’est du totalitarisme.
Même si une politicienne a dit que la “binarité des sexes bénéficie d’un fort ancrage culturel” et que “L’ouverture à laquelle les minorités ont droit ne leur donne en aucun cas le droit de pulvériser les repères majoritaires”, on ne peut que s’inquiéter du fait qu’on présente une loi dans laquelle des termes qui ne correspondent pas à la réalité soient employés.
Il y a un droit fondamental à protéger qui est celui de dire la vérité sur la réalité biologique de l’humanité. Et cela inclut la vérité sur les familles. Les enfants ont le droit de vivre avec leurs parents biologiques, sauf accident, et on ne peut pas se taire devant les dernières lois qui permettent que des enfants soient privés d’un père ou d’une mère au nom d’une prétendue «égalité».
A l’heure où la Ville de Genève organise une «table ronde sur l’inclusion des personnes trans dans les institutions publiques», il est important de continuer à rappeler le droit fondamental à dire la vérité. Le droit fondamental de dire la vérité ne peut pas être réduit par des lois civiles.
Jaime Vladimir Torres-Heredia Julca
1205 Genève
Meltoisan
Ce qui m’étonne le plus, c’est qu’il y a sur terre des gens qui n’ont que ça à faire (s’interroger sur le genre) et qui passent toute leur vie … à côté de l’essentiel !