De Jean Madiran (article en libre consultation) :
"A la différence du second tour de la présidentielle, dimanche au premier tour des législatives, partout (ou presque) nous aurons un ou plusieurs candidats qui ne soient pas simplement un supposé « moins pire ». […] Il faut interroger les candidats : les interroger en privé et en public, les interroger personnellement et collectivement. La première question à leur poser est la question [de la souveraineté] nationale […]. La seconde est celle de l’avortement. […] La loi républicaine autorise, suscite, organise et rembourse les avortements. Elle ne sera jamais corrigée et remplacée si nous ne commençons pas à refuser nos suffrages à tout candidat qui ne se prononce pas publiquement pour l’arrêt du génocide. Et à le proclamer aussi fort qu’il dépend de nous. […] La confusion actuelle des pensées et des mœurs nous suggère de ne pas trop demander aux candidats, c’est entendu. Mais sur l’essentiel, on ne lâchera pas, et il faut le dire, pour que d’avance les candidats le sachent."