Sur la cathédrale Notre-Dame, TMC a diffusé deux magazines, accessibles en replay, un documentaire des frères Naudet, un autre sur le chantier du siècle.
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F. JACQUEL
Je ne connaissais pas les Frangines. Je les découvre avec ce bel hommage à Notre-Dame de Paris.
Il est agréable de trouver que la chanson française est capable de beauté.
Merci, les Frangines !…
Virtus
Très beau, mesdemoiselles.
En ce qui me concerne, lorsque je revois les images des flammes ravageant nos cathédrales, je n’ai plus envie de pleurer. Je pense plutôt à ce chant ancien qui, s’il raisonnait encore ailleurs que sur Youtube, empêcherait que nos lieux saints ne brûlent en toute impunité:
“Non nobis, Domine, non nobis sed nomini tuo da gloriam…”
Mais nous ne sommes plus au temps d’Urbain II. C’est pourquoi nous revenons au temps de Néron.
jlmont
pleurer se lamenter réconforte l’âme certes, mais étudier les causes pour y remédier ne dit pas être oublié comme tout le monde semble s’en accommoder. or ces causes peuvent persister: confier l’entretien a un organisme externe a des gens “venus d’ailleurs” a qui on n’ a expliqué ni le plan des bâtiments ni les codes d’alerte, et qui confondent les annexes avec les combles, sans parler des courts circuits supposés au départ, on attend toujours l’enquête et ses résultats, mais on a l’impression que les responsabilités se dilueront avec le temps, jusqu’à la prescription?