Libération s'autocélèbre à l'occasion de ses 40 ans, en publiant un livre… qui fait glousser Marianne :
"Le 18 avril 1975, tandis que les Khmers rouges commencent à déporter l'entière population de Phnom Penh, Libération choisit de saluer avec enthousiasme l'entrée de ses frères « révolutionnaires » dans la capitale cambodgienne. Etrangement, on ne trouve aucune trace de cette une historique – « Phnom Penh : sept jours de fête pour une libération » – dans le livre collectif que Flammarion publie pour les 40 ans du journal. Qu'importe ! On sait tous que Libé
a toujours raison, même lorsqu'il écrit une chose et son contraire, ou
qu'il troque le maoïsme sénile de Sartre pour le sweat-capuche de
Demorand.Libé a donc 40 ans (pardon, « 40 balais ») et
il a tout compris à l'art de l'anniversaire réussi, s'offrant une
autoapologie grand format sur papier luxueux, histoire de mieux célébrer
son propre génie visionnaire… A l'adresse des grincheux et des
bouseux qui en douteraient encore, ce « roman d'un journal, récit d'une époque », cherche donc à nous persuader que Libé est un « intellectuel collectif » depuis toujours à l'avant-garde de la dénonciation des « injustices, oppressions, violations», à jamais détenteur de la «liberté de [ses] choix éditoriaux »…"
Les lecteurs de Libé ne lui font pas de cadeau : au premier semestre, les ventes en kiosque ont chuté d'un tiers par rapport à l'année précédente.
Guillaume
Plus bobo que Libé, tu meurs.
Rollet
Que du mépris pour ces complices de génocide.
Et dire qu’il (l’aberration, oups libération) se permet de parler de démocratie. A vomir !!!!
david
C’est la même chose que lorsque l’on parle du siècle des “lumières”. Le titre est en soi une inversion pour ce journal auquel le qualificatif de “merdias” convient parfaitement.
orange
Ils ne passeront pas les 50 ans !
Tol
7 jours de fête avant 5 ans de génocide.
hoplite
Dans quelques décennies, dans une France renouvelée, ce journal collaborateur de toutes les horreurs idéologiques et sociétales pourrait bien être considéré comme aussi veule, aligné et dangereux que “Je suis partout”…
X22
“LIBERATION”, quel titre pour un journal qui célébra les oppressions des khmers rouges et de leurs 5 millions de morts. On pourrait aussi ressortir le numéro du “Monde” glorifiant ces assassins du peuple khmer.
Aujourd’hui ils continuent, mais les lecteurs ne suivent plus. Ils ne peuvent plus vivre que grâce aux subventions données par le pouvoir en récompense des services rendus.
rené
Il n’y aurait la compagnie Air France pour acheter 15 % du tirage,
ce journal serait à l’agonie.
Exupéry
A propos du génocide cambodgien (pour lequel le “devoir de mémoire” est, notons-le, facultatif!), n’oublions pas que son principal responsable, Pol Pot, fut formé en France au début des années 50 par le parti communiste “français”.
A cette époque, le gauchisme n’ayant pas revendiqué son indépendance, les pères idéologiques de “libé” faisaient donc partie des formateurs de Pol Pot ! Leur enthousiasme pour la “libération” morbide de Phnom Penh s’explique donc très logiquement.
Voilà de belles racines!
Sopotec
40 balais pour mieux évacuer les titres genants donc…
amiral
A remarquer : tous ces grands cerveaux révolutionnaires, morts avec plein de sang sur les mains, sont venus s’endoctriner en France auprès du célèbre parti communiste (le libérateur), d’où le journal?