Le quotidien de la gauche trotskiste publie un manifeste de soutien aux émeutiers qui ont tiré sur la police en 2007 à Villiers-le-Bel. Le texte n'hésite pas à faire des amalgames insupportables et les auteurs accusent directement les forces de l'ordre :
"Ces quartiers submergés par une occupation devenue militaire ont, un temps, submergé les forces d’occupation. Les roueurs ont été roués. L’espace de deux soirées, la peur a changé de camp. […] cet ordre du monde est celui sous lequel nous vivons tous, sous lequel nous étouffons. Quelle que soit l’aptitude du système à masquer l’étendue de son délabrement, chacun sent qu’il a fait son temps. Quand il s’effondrera finalement, Villiers-le-Bel entrera dans la longue chronique des soulèvements qui auront auguré de la fin d’un monde de malheur."
Rien de nouveau sous le soleil de Libé, ce triste journal qui défendait les pédophiles.
Par ailleurs, on apprend que le principal inculpé a été candidat UMP lors des municipales de 2008.
SD-Vintage
pourquoi les élites de libération ne vont pas habiter dans ce sympathique quartier?
“rouer” ? À coups de fusil ? À libération, on change le sens des mots, méthode fasciste d’après Orwell. Cela signifie-t-il que maintenant les policiers peuvent “rouer” à leur tour en tirant dans le tas ?
Ethos
Je traverse depuis des dizaines d’années cette pauvre ville flinguée par la “politique de la ville” et son corrolaire : l’immigration. Et si ce n’était que là…
Il y règne une désolation peu imaginable sur un ancien village ressemblant à tant d’autres par ses immeubles, témoins de l’art de vivre pas si ancien mais multiséculaire en ces endroits du Val d’Oise.
Il y règne une violence que l’on voit ici et là, toute disponible pour apeurer, voler, casser, détruire, ravager, tuer. Les bandes raciales sont aux aguets si ralentit une voiture de “flics”. Si elle s’arrête, les portables sont sortis pour filmer les visages des fonctionaires et les plaques des voitures banalisées, pendant qu'”on” tente de les encercler pour les “serrer” et les provoquer. De plus en plus jeunes les barbares…
Verser des milliards dans ces zones n’a servi à rien, sinon à ruiner la France en fabriquant des crapules.
Bertrand
Je vous invite à lire les commentaires de cet article sur le site de Libération : ils sont rassurants. Il y a une quasi-unanimité de réactions scandalisées : allons, les lecteurs de Libération ne sont pas aussi abrutis que les rédacteurs ! Reste tout de même à savoir pourquoi ils continuent à acheter le journal.
Une réaction entre mille : “Article bien triste. Article honteux que vous nous donnez à lire, à vomir devrais-je dire.
Des victimes, vous faites des bourreaux. Des criminels, de pauvres et faibles victimes.”
Montcalm
Cela fait longtemps que Libé, propriété de M. de Rostchild, a cessé d’être un journal trotskiste pour n’être qu’une feuille de chou bobo parmi d’autres, au désespoir de ses lecteurs historiques.
Serge
J’espère que la Police se souviendra des signataires de cet article immonde et qu’au moindre faux pas de ceux-ci en voiture ou en traversant au vert elle leur appliquera de la façon la plus rigoureuse la LOI !
Jean
http://www.europe1.fr/France/Villiers-le-Bel-un-temoin-accablant-entendu-220426/
Eloise
Ethos, on voit que vous ne faîtes QUE traverser cette ville : j’y habite (à Villiers-le-Bel), et je ne ne reconnais pas vraiment les faits que vous décrivez.
Ce n’est pas la plus belle des villes, ce n’est pas la plus “sure”, mais elle n’est surement pas la plus violente.
Les flics patrouillent de temps en temps, à pied, en voiture, j’en ai vu plusieurs fois papoter avec la “bande” qui traine pas loin de chez moi…
S’il y avait des morts tous les jours, je pense que je serais au courant…
Quand à la populass’, issue fortement de l’immigration, je ne sais pas à qui il faut s’en prendre. Les gens se mettent où ils peuvent, mais surtout, là où on leur dit de se mettre.
Ethos
@ Eloise
Ethos se confond en excuses d’avoir décrit ce qui affleure à Villiers-le-Bel.
Il est si vrai qu’ailleurs c’est le bonheur pour bisounours…
Vous avez infiniment raison, la vie ne peut être plus belle qu’à Villiers-le-Bel où il n’y a jamais eu le moindre incident caractérisant la guerre civile… laquelle n’est que un fantasme de faible d’esprit.
Mais à quoi bon…
Eloise
Ho, prenez moi pour une imbécile, et faîtes moi dire des choses que je n’ai pas dites…
“Il y règne une violence que l’on voit ici et là, toute disponible pour apeurer, voler, casser, détruire, ravager, tuer. Les bandes raciales sont aux aguets si ralentit une voiture de “flics”. Si elle s’arrête, les portables sont sortis pour filmer les visages des fonctionaires et les plaques des voitures banalisées, pendant qu'”on” tente de les encercler pour les “serrer” et les provoquer. De plus en plus jeunes les barbares…”
Cette partie de votre commentaire est plus qu’exagérée.
Vous parlez d’une ville que “vous traversez depuis une dizaine années”. Moi je vous parle de la ville dans laquelle j’habite depuis 6 ans.
Je n’ai jamais dit que la vie à Villiers-le-Bel était belle, loin de là, mais elle est assez loin de l’image que vous lui donnez, c’est tout.
Sur ce, Monsieur…
Ethos
Chère Eloïse,
c’est, j’en conviens volontiers, peu agréable de voir sa ville mise en avant parce que confrontée aux terribles réalités d’un multiculturalisme aussi forcené que coupable lequel donne les résultats actuellement objet du procès devant les assises à Pontoise.
Mais je vous rassure, cela arrive aussi ailleurs; pour les mêmes causes.
Et que Libération fasse un écho de cette nature aux évènements relatés confirme bien à quoi nous sommes confrontés en matière de mass médias et de prétendue information.
Mais pour autant, à Villiers, tout le monde n’est pas mauvais, je le sais bien.
Non, je n’exagère pas et je persiste sans me réjouir, tant j’ai vu, en plus de cinquante ans, évoluer “la situation”, y compris à Villiers le Bel, comme à Tremblay, où il m’arriva d’aller jouer certains jeudis…
Il n’y pas plus têtus que les faits http://www.fdesouche.com/47810-villiers-le-bel-une-guerilla-a-peine-larvee .
Quant au reste, je vous assure, peu me chaut.
Bonsoir.
Ethos