Lu dans Le Journal de Saône et Loire :
"Alice (Prénom d'emprunt), Saône-et-Loirienne de 17 ans, accuse ses parents de l'avoir conduite dans son sommeil à l'hôpital pour procéder à une interruption de grossesse forcée, alors qu'elle était revenue sur sa décision d'avorter. Les faits se seraient déroulés début juillet dans un hôpital du département. "J'ai appris mon avortement seulement à mon réveil dans mon lit d'hôpital, après l'anesthésie générale", dit-elle.
Aujourd'hui réfugiée chez son compagnon Damien (Prénom d'emprunt) qui l'avait mise enceinte, la jeune femme tente de se reconstruire en dénonçant ce qu'elle a vécu. "Si j'ai décider de raconter mon histoire, c'est pour que des adolescentes ne fassent pas les mêmes erreurs que moi", confie Alice, qui entend désormais poursuivre ses parents et l'hôpital devant la justice."
Et les médecins complices ?
clemsius
Le procureur de la république va classer l’affaire sans suite. Avorter est un droit fondamental. Il restera la possibilité de déposer plainte avec constitution de partie civile mais la justice et la société barbotent dans le monde de la pensée unique depuis si longtemps… Un coup de pouce de la Providence? Il faut demander.
Jeep
Les juristes vont se prendre les pieds dans tapis! Le BB à naitre n’étant que le corps de la femme “un kyste” par exemple, les parents d’une mineure ont-ils le droit de faire opérer leur enfant selon leur fantaisie?
OUI alors tout est permis,
Non alors c’est pas bien l’avortement!!!
Gageons que Machiavel s’en sortira par un mensonge et un non lieu. Voilà en tout cas une famille brisée suite au meurtre d’un enfant à naitre
Gerfaut
1975 :
Cela fait quarante ans que tu verses des pleurs.
Toutes les nuits tu revois cet enfant en songe.
Désormais tu ne crois plus à tous ces mensonges.
Je le lis sur ton visage empreint de douleur.
Toi qui te déclarais maîtresse de ton corps,
Tu ne voulais surtout pas de cette grossesse
Et, jeune inconsciente, tu m’as donné la mort,
C’est ce choix qui est la cause de ta détresse.
Fruit de l’amour sacrifié tu m’as supprimé,
Femme à la conscience violée par le système.
Pourtant Maman je suis pour toujours ton bébé.
Même si tu ne le sais pas ton enfant t’aime.
Valou
Comment peut-on transporter quelqu’un dans son sommeil ???
c'est ici
La majorité des commentaires du journal de Saône-et-Loire est lamentable ; le coup de force (s’il est confirmé)des parents et de l’hôpital est criminel et relève du juge pénal.
Michel
Faut-il dans ce cas aussi accorder miséricorde aux parents et aux médecins qui ont pratiqué l’avortement ?
[S’ils viennent confesser leur crime avec contrition, oui. MJ]
C.B.
Et qu’en pense “Damien”? Bien content de n’avoir pas à assumer les conséquences de ses actes et peut-être prêt à récidiver?
Irishman
Bravo Gerfaut ! A placarder partout, les murs, les ponts, les quais du métro !
kerry
J’ai eu un exemple récemment dans mon entourage d’une lycéenne de 16 ans enceinte qui voulait garder son bébé mais que ses parents ont forcé à avorter.
Et une autre dame, au cours d’une banale conversation m’a dit qu’elle avait envoyé avorter la copine de son fils de 14 ans.
Elle était contente d’avoir rondement mené cette affaire.
Dans les deux cas, ce ne sont pas les jeunes qui ont voulu cette “solution” mais des parents qui pensent savoir ce qui est bon pour leur enfant.