Philippe Bilger, avocat général près la cour d'appel de Paris, a dit être convoqué vendredi chez le procureur général de Paris, François Falletti, après avoir, sur son blog, validé les propos controversés du journaliste d''Eric Zemmour.
Liberté d’expression : au tour de Philippe Bilger ?
Articles liés
8 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Exupéry
En ripoublique tout le monde est libre, mais certains sont moins libres que d’autres de dénoncer les atteintes à leur propre liberté!
Journé Nicolas
Dans ce pays n’a le droit de parler et de se contredire, que le président, tous les autres sont sous contrôle d’une façon ou d’une autre!
C’est ahurissant! mais tellement vrai.
Soudarded
j’ai la nette impression que l’affaire Zemmour pourrait être le révélateur officiel, d’une fracture nette mais déja ancienne, entre pays réel et pays légal.
Un peu comme si le mur de Berlin tombait une seconde fois. Le mur du politiquement correct, s’entend.
Et je serais curieux de savoir ce qui va se passer et se dire, entre Bilger et le procureur. Ca risque d’être à fleuret mouchetté…
marie laure
Aprés son coup dans l’aile ,”la droite “est en mauvaise posture.
Monsieur Bilger défendez vous .C’est maintenant ou jamais .
VD
Cela fait tâche d’huile… Je pense que Michel Janva ne va pas tarder à être convoqué à son tour… par l’Elysée -pour donner des leçons de droit(ure)- ???
Marie
il faudrait défendre l’avocat maintenant ; continuer à mettre la pression pour qu’enfin, la vraie liberté qui consiste à dire la réalité commence à exister.
ça va être plus compliqué pour lui puisqu’il est bien moins médiatique ; comment peut-on faire ?
ohlala
si enfin on commençait à étudier l’immigration, pourquoi la France est-elle une terre d’asile, et quel type de population est attirée par elle?
Peut-on accueillir toute la misère humaine, pauvre ou délinquante?
si nous ne le faisons pas aujourd’hui, c’est la faillite de notre pays qui le fera et cela se fera dans la douleur
Bernard
La France terre d’asile? oui mais d’asile de fous