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France : Société / Liberté d'expression / Médias : Désinformation

Radio France : halte à cette propagande d’Etat qui coûte une fortune au contribuable

Radio France : halte à cette propagande d’Etat qui coûte une fortune au contribuable

On apprend que le budget de Radio France (7 antennes) est supérieur (630 millions) au budgets cumulés des 330 radios privées (560 millions) et ces dernières emploient 8 000 personnes, contre 4 000 pour Radio France.

Parmi les réformes urgentes de l’Etat à réaliser, il y a certes, la suppression de la redevance audiovisuelle, mais surtout la rationalisation sinon la disparition de l’audiovisuelle publique qui coûte une fortune aux contribuables pour les assommer d’une propagande politique de plus en plus insupportable, à l’image de France inter. Cet article est terrifiant :

“(…) Enjeu de la polémique : le gâteau publicitaire, dans lequel Radio France est, depuis 2016, autorisée à mordre à hauteur de 42 millions d’euros annuels.

Or, le projet de contrat d’objectifs et de moyens (COM), actuellement en cours de discussion entre le ministère de la culture et Radio France pour la période 2020-2022, ne fait plus, en l’état, mention d’un tel plafond. « Malgré de nombreuses alertes des radios privées et plusieurs rapports publics [Conseil supérieur de l’audiovisuel, Cour des comptes, Parlement…], Radio France a systématiquement dépassé ce plafond au mépris de ses engagements et sans aucune réaction de son ministère de tutelle », se fâchent les radios plaignantes, dans un communiqué publié lundi 1er février (…)

Anne Fauconnier, la déléguée générale du Bureau de la radio, arguments chiffrés à l’appui. « En 2020, Radio France a bénéficié d’un budget de 630 millions d’euros, dont 580 millions au titre de la contribution à l’audiovisuel public, pour faire vivre sept antennes, explique la représentante des grands groupes radiophoniques. Dans le même temps, les 330 radios privées du pays se sont partagé un marché de 560 millions d’euros, en décroissance depuis plusieurs années. »

Que les radios privées, déjà affectées par les conséquences de la crise sanitaire, souffrent davantage, et il en va « du pluralisme de l’information et de la diversité du média », prévient-elle. Non seulement « les radios privées emploient 8 000 personnes, contre 4 000 pour Radio France, mais la redevance qu’elles versent à la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique dépend de leur chiffre d’affaires », rappelle cette ancienne secrétaire générale du pôle radio du groupe Lagardère (…)”

 

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7 commentaires

  1. Il n’existe de toute façon aucun secteur ou l’État ne passe pas l’argent par les fenêtres…

  2. Oui mais que faire? France Musique a quand même pu garder de beaux restes.

  3. Il faut privatiser (ne garder que RFI, mais qui ne fait pas partie de Radio France je crois) et supprimer la subvention. Ils crieront à la dictature et feront grève. Mais contrairement à la SNCF, ce n’est pas une grève qui prend les gens en otage (il y a 330 autre radios à écouter), et donc l’affaire sera réglée.

  4. Depuis quelques années, je n’écoute plus ni France inter ni France culture : à chaque fois j’ai l’impression d’écouter radio Paris pendant l’occupation… propagande anti France, propagande islamo-gauchiste, propagande écolo, propagande LGBT, propagande antiblanc,…au final ces gens-la semblent n’avoir qu’un seul but : donner aux Francais, et surtout à ceux issus de l’immigration, toutes les raisons de haïr leur pays d’accueil…voir leurs dirigeants être décorés de la Légion d’Honneur, me confirme dans l’impression que ceux qui nous gouvernent ne veulent pas autre chose.

  5. De toute façon c’est comme tout ce qui est public, l’administration est gavée d’argent jeté par les fenêtres et quand on a à faire à eux on est devant un mur d’incompétence, de gens qui se croient supérieur aux autres et ils sont 4 fois trop nombreux c’est à celui qui pondra la circulaire la plus bête, par ex pour les artisans une dizaine de feuilles à remplir sur chaque chantier à cause du covid, les impôts, il n’y a rien à voir circulez ne parlons pas des greffes du tribunal de commerce( je leur porte un dossier, tout est ok sauf une date à changer, je reviens avec la correction, rien ne va plus et le pécore que j’ai au téléphone me fait comprendre que je suis un pauvre c….et une semaine après je reçois un courrier pour tout recommencer. Ca fait plus d’un mois que j’ai répondu en bonne et due forme même pas la politesse de répondre. Dans ce pays si les c…. des administrations volaient le ciel serait noir. C’est vraiment dommage pour ceux qui sont honnêtes, à ma connaissance ça fait parie des métaux rares. Je n’avais jamais vu ça dans ma jeunesse ni dans ma phase adulte. Alors il faut pas s’étonner que dans cette radio bolchevik ils dépensent autant d’argent pour si peu de résultats.

  6. Et à l’époque du glorieux paradis prolétaire aux horizons insurpassables, l’URSS, quel était le ratio de financement entre l’agence Tass, les Izvestia et la Pravda, d’une part, et les samizdat, d’autre part ?

  7. Les financements de tous ceux dont le rôle est d’être le simple écho de l’Etat nous coûtent “un pognon de dingue”.
    Et que dire des députés qui en catimini se sont octroyés une augmentation de trois mille euros mensuels pour leurs frais de représentation ? La nouvelle a dû réjouir les retraités sans cesse ponctionnés, les commerçants obligés de tirer le rideau et les salariés devenus chômeurs.

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