Encore une théorie du complot qui s’avère être juste :
Marine a 32 ans et son rêve de bébé s’est effondré. Pour elle, tout a basculé à l’été 2021 après une deuxième injection de vaccin Pfizer. Elle a choisi de se faire vacciner pour protéger ses deux parents atteints d’un cancer. Mais, quelques jours après, des douleurs effroyables dans le bas-ventre lui font perdre connaissance. Elle saigne abondamment, des caillots de sang de la « taille d’une main » la contraignent à troquer des serviettes hygiéniques contre des couches. Elle n’ose plus sortir. Elle reste alitée des jours, en position fœtale, une bouillotte sur son ventre endolori.
Aux urgences, le verdict tombe : elle est atteinte d’adénomyose, une endométriose de la paroi interne de l’utérus. Elle interroge timidement les médecins qui la prennent en charge sur un possible lien avec la vaccination. « Ça n’a strictement rien à voir ! Il faut cesser avec ces théories fumeuses complotistes ! », se voit-elle rabrouée. Après la troisième dose, Marine n’a plus de règles du tout. La jeune femme, qui rêve d’être maman, s’était lancée dans un parcours PMA. Un autre couperet tombe, plus déchirant encore que des règles hémorragiques : une ménopause précoce, à seulement 32 ans.
Mais les douleurs au ventre, sadiques, ne se taisent pas pour autant. Si aiguës que, un beau jour, elle s’effondre, prise de convulsions. Enchaînant les médecins, on lui détecte, cette fois, une arythmie cardiaque et des kystes au cerveau. Marine traîne ses maux, ses interrogations, ses doutes, ses peurs, seule, sur le lino couinant et froid des hôpitaux. Pour le corps médical, elle est seulement trop « stressée », peut-être un peu « surmenée ». Pour clôturer la valse des spécialistes consultés, un psychiatre la diagnostique même bipolaire, elle qui n’en a pourtant aucun des symptômes.
Combien sont-elles, comme Marine, à se prendre un mur d’inhumanité, sinon de déni du corps médical, en pleine face ? À s’entendre traiter au mieux de « stressées », au pire d’ « hystériques », voire d’abominables « complotistes » ? Combien sont-elles alors à préférer se terrer dans le silence ?
[…] Au printemps dernier, quelque 10 000 cas de troubles du cycle menstruel post-vaccination Covid avaient été remontés par les centres de pharmacovigilance depuis le début de la campagne vaccinale en France. « Un chiffre largement sous-évalué et quel’on peut facilement multiplier par 10 si l’on veut se faire une idée plus précise de la situation ! Les médecins n’ayant tout simplement pas l’envie sinon le temps de s’encombrer de paperasse à chaque eff et indésirable “suspecté” d’être en lien avec le vaccin », nous explique Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet.
Pour se faire une idée du phénomène, deux chercheuses américaines, Kathryn Clancy et Katherine Lee, elles-mêmes aux prises avec des règles hémorragiques post-vaccination, ont publié une étude, en octobre 2021, révélant que 42 % des femmes souffraient de désordres de leur cycle après les injections. Parmi la litanie des pathologies recensées : retour des saignements chez les femmes ménopausées, règles anormalement abondantes, douleurs inhabituelles, perturbations hormonales inexpliquées… […]
Francis
Contrairement au titre vous ne donnez aucune preuve du” Lien de causalité entre les injections contre le Covid et les troubles du cycle menstruel”
“J’ai mangé une orange et il a plu”
Jamais la succession dans le temps des terribles malheurs de cette pauvre dame après une vaccination n’apporte la preuve que vous annoncez….
Un peu de rigueur s’il vous plaît….
Meltoisan
Je suis d’accord avec vous Francis, nous n’entendons pas assez d’explication, nous ne voyons pas assez de rapports scientifiques sérieux mis au niveau du commun des mortels. Une bonne résolutions 2023 serait d’acheter et de lire “Les vaccins pour les nuls” écrit par des expert / chercheur de l’Institut Pasteur.
Quand je marche, je remarque sans aucun doute que la terre est plate mais j’ai un doute en regardant la courbe de l’océan à l’horizon et quand je lève les yeux au ciel et que les nuages nous laissent un peu de répit, je constate que le soleil tourne autour de la terre. Le tout dans le vacarme assourdissant d’une Greta qui hurle à mes oreilles “I want you to panic !”
Oups, encore un cauchemar !
zongadar
il faut s’intéresser un peu au sujet, éteindre sa télé et chercher un minimum, allez sur VAERS, renseignez-vous sur les essais Pfizer (taux de fausses couches sur les femmes enceintes de leur essai), sur l’association “Où est mon cycle ?”, écoutez les scientifiques non commissionnés et au CV impressionnant comme feu le Pr Montagnier, Alexandra Henrio-Caude ou encore Astrid Stuckelberger…, discutez avec votre fleuriste ou votre tanatopracteur préféré…ces injections sont des roulettes russes, jouez-y si vous voulez mais ne prenez pas les personnes qui en souffrent pour des imbéciles.
Gilles Tournier
Sans tomber, s’il vous plait, dans l’erreur de celui qui regarde le doigt quand le sage montre la lune. Oui, il faut apporter des preuves, sans quoi les arguments ne sont que des opinions.
Cependant, vous savez que l’information “covid” est très contrôlée et les corrélations probantes difficiles à démontrer. J’entends beaucoup (plus de 100) témoignages de gens ordinaires qui s’étonnent du nombre de morts jeunes et en bonne santé pendant 2022. Les rapports du SNS (Portugal) ne disent rien mais l’absence de preuve ne signifie pas la preuve de l’absence non plus ! Étant sous traitement cardio-vasculaire, j’interroge en 2020 mon médecin de famille et mon cardiologue sur la nécessité du vaccin. Les deux me demandent si je veux me faire vacciner et je dis non. Alors ils me répondent de ne rien faire. Mon exemple n’a rien d’une preuve mais il indique que le corps médical est d’une extrême prudence par rapport au dogme de l’OMS relayé partout.
Pour ma part, ces articles ne sont pas des preuves mais des stimulants, des résumés qui donnent envie d’aller plus loin, lire un ouvrage spécialisé, découvrir un site internet ou un auteur.
Enfin, vous savez certainement qu’un secret résolument tenu est très dur à briser. Mon intuition (sans preuve) est que le covid est un sacré secret !
Ydelo
Le titre manque de rigueur en effet, dans le sens où il n’y a pas (pas encore ?) de causalité établie.
Mais l’étude qui indique que 42% des femmes ont des désordres du cycle après l’injection semble suffisante pour identifier une corrélation
Francis
Merci Zongadar de votre intervention.
Lisez soigneusement, il ne s’agit pas du tout de porter un jugement sur ceux qui souffrent, mais de mettre en cause la démarche d’attribution systématique de tous nos malheurs au vaccin.
C’est par la, réflexion calme et non par des imprécations épidermiques qu’on fera avancer la “chose”.
Amicalement !
Francis
zongadar
Désolé. Effectivement, votre commentaire m’avez chatouillé d’où le ton !