Interrogé sur le problème des retraites par Famille chrétienne, Vassili Joannides, professeur à l’École de management de Grenoble et
à l’université de technologie d’Auckland (Nouvelle-Zélande), déclare :
"Pourquoi ne pas réfléchir à une politique nataliste plus volontariste et
à une immigration plus importante ?"
Malheureusement, dans la suite de l'entretien, il ne revient pas sur la politique nataliste et ne s'intéresse qu'à l'immigration, qu'il estime nécessaire, malgré l'important taux de chômage que la France connaît :
"Il s’agirait d’ouvrir davantage les frontières pour faire venir une
main-d’œuvre qualifiée. Et j’insiste sur le fait que ce soit une
main-d’œuvre qualifiée ! Non pas des pauvres migrants qui se retrouvent
après entassés dans des ghettos aux périphéries des grandes villes."
Pour empêcher ces pays pauvres de se développer, il n'y a pas mieux en effet que de piller leurs cerveaux… Cette idée, qu'une commission a jugé impossible à mettre en oeuvre, est la même que celle développée par Nicolas Sarkozy sous le terme "d'immigration choisie", que Bruno Gollnisch avait qualifiée de "politique de négriers des temps modernes". Tout en tirant les salaires des cadres français vers le bas. C'est une idée d'autant plus illusoire que la France exporte déjà ses cerveaux, preuve qu'elle n'en manque pas.
Vive le Roi
C’est pourquoi je suis prêt à travailler jusqu’à ce que mort s’en suive pourvu que ça puisse limiter l’immigration de populations musulmanes…
Etienne
“preuve qu’elle n’en manque pas”… je crois que vous n’y êtes pas. Nous manquons cruellement de cerveaux qualifiés aujourd’hui.
Certes nous en exportons, mais nous en exportons beaucoup trop. La fuite n’est pas compensée par l’arrivée de nouveaux diplômés.
La capacité de croissance de nos entreprises serait largement amoindrie sans ces cerveaux étrangers.
De plus, dans un contexte de mondialisation, nous avons besoin des cerveaux étrangers pour pouvoir survivre. Ce n’est pas avec notre culture syndicaliste que nous pourrons nous en sortir !
[Le véritable problème est donc de retenir nos cerveaux en France et non de piller ceux du Tiers-Monde. MJ]
René de Sévérac
Arrêtez ce type de débat (j’allais dire stupide) stérile :
Les “cerveaux” qui partent sont des “produits” rares attirés par des rémunérations alléchantes … dans la Silicon Valley par ex.
Les “cerveaux” qui arrivent sont des “bac+n” sans valeur attirés par des rémunérations alléchantes … chez nous et qui seraient fort utile néanmoins dans leur pays.
Cela ressemble à l’échange que voilà : chaque fois qu’un individu quitte la France par excès de taxation, ils sont des centaines d’Africains à le remplacer.
géraldine
Les immigrés fréquentent très mal le travail, dont certain n’ont pas besoin vu ce que la Caf leur rapportent.
La polygammie,une delicatesse assez appréciée par nos “hommologues presque aussi français que nous” ainsi que leur islam ne leur laisse pas beaucoup de temps pour s’occuper des questions purement matérielles et profannes tel que le travail.
Les enfants suivront les exemples des parents, on ne peut apprendre la contrainte du travail à des enfants qui ont grandi sans contraintes.
Non, les enfants grandiront , c’est certain mais pas pour payer des retraites.
Ce qu’ils feront, hélas, l’homme de discernement ne le sait que trop bien.