Le Nouveau Conservateur a consacré son numéro de février à l’intelligence artificielle. En voici l’éditorial, de Guillaume de Thieulloy :
L’intelligence artificielle : menace ou espoir ?

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Garde67
Selon la définition du dictionnaire le Robert, le mot “artifice”, d’où est tiré le mot artificiel, vient du latin “artificium”. C’est-à-dire un art (métier ou technique) de faire (facere). L’artifice s’oppose au naturel. L’intelligence naturelle est le propre de l’homme qui est l’action de comprendre, “intellegentia”, par les moyens de sa personne : l’esprit et l’âme, dans le but d’aimer.
Mais qu’elle soit naturelle ou artificielle, l’intelligence peut être bonne ou mauvaise. Être utilisé à bon ou à mauvais escient. Car l’intelligence est un don de Dieu fait à l’homme. Et l’activité première de l’intelligence consiste à “connaître” Celui qui nous a créé afin de l’aimer et de l’imiter.
L’intelligence artificielle peut-elle être un moyen de connaître Dieu ? D’aimer Dieu ? De l’imiter et de Le servir ?
Questions ouvertes.