Reportage sur la maternité des Lilas (93) dans 20 minutes, pour expliquer la campagne lancée par le planning familial. Un gros plan est effectué sur les services du centre d’orthogénie, dont le chef de service, le docteur Marie-Laure Brival, explique :
"Ici, aucun médecin n’a signé de clause de conscience pour refuser de pratiquer les avortements, notamment à partir de la dixième semaine"
Elle affirme également se battre pour faire accepter "l’IVG comme une nécessité des temps modernes". On nous présente, dans l’article, différentes personnes venues pour avorter, telle cette mère de trois enfants :
"Mes convictions religieuses font que ce moment est très difficile à vivre. Mais le personnel a réussi à dédramatiser ça".
Une sage-femme ajoute :
"Comment peut-on faire la morale à une femme et savoir à sa place ce qui est le mieux pour elle ?"
Le stratagème reste le même : faire oublier à la mère qu’elle est mère, lui rappeler qu’elle est femme et maîtresse de son corps. L’enfant, lui, n’existe déjà plus dans l’esprit des avortueurs. Faisons en sorte, dimanche prochain, de rappeler que dès sa conception, l’enfant est là !
senex
Pour se donner de la “rage et de la fureur” pour la Manif,voir ou revoir les vidéos du Dr Nathanson (site : Ab imo pectore:blog de Polydamas)Personnes trop sensibles s’abstenir;Un médecin américain qui les avait vues a cessé tout acte d’IVG,immédiatement.Personne ne pourra plus dire “Je ne savais pas”Bravo à ce bloggeur courageux qui pourrait encourir,sait-on jamais, une peine pour “révisionnisme”Il ne s’agit pas de culpabiliser,mais de mettre en face de la réalité.Bravo pour votre combat.
texmex
Notre petit groupe de toulousains ne sera pas à la Marche, mais sur le terrain en contact avec les gens, pour évangéliser et témoigner pendant qu’un autre group prie.
Il faut savoir que 64% de femmes ayant avorté disent qu’elles ont subi des pressions parfois violentes, que le taux de suicide parmi les femmes ayant avorté es de 6 à 7 fois plus elevé que pour les autres, que 10% de femmes ayant avorté ont des problèmes physiques dans l’immédiate, dont un cinquième peuvent être fatales. Et 84% disent qu’elles n’ont pas été averties des dangers physiques et psychologiques de l’IVG. (source: Elliot Institute, USA)
Philippe Edmond
On peut remarquer une contradiction dans le discours du personnel de ce centre d’avortement qui tout à la fois “aide à dédramatiser”, ce qui revient à dire qu’ils sont intervenus sur cette femme pour influencer son choix, et qui pretend en même temps refuser de “faire la morale” et de savoir à sa place ce qui est meiux pour elle”
Eric
Les gens doivent VOIR. Les mots ne valent rien.
eric
Notre voisine Annie, 74 ans, souffre de problèmes graves vginaux et urinaires, elle a déjà subi deux interventions.Elle nous a confié avoir avorté dans sa jeunesse, clandestinement, à l’époque.L’avortement provoque-t’il ces problèmes chez les personnes du troisième âge ?
Barbara
Il est à noter comme on encourage les femmes à avorter, quand elles ne sont plus trop sûres de faire le bon choix, plutôt d’essayer de les convaincre de mener leur grossesse à terme puis de confier l’enfant à l’adoption.
Et ces bonnes âmes qui prétendent penser aux femmes qui risquent leur vie au cours d’une grossesse, pourquoi ne font-elles pas plutôt l’apologie de la stérilisation, qui est moralement plus défendable.
Olivier
Peut-être que les photos d’avortements, avec embryons découpés en morceaux, fraaperaient les esprits…si les media les laissaient publier!