Le ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a souhaité que les partis politiques ne délivrent pas de consigne de vote sur la révision des lois bioéthiques lors de son examen par le Parlement, s'agissant d'un domaine touchant aux convictions personnelles :
"Il n'y en aura pas à l'UMP mais je souhaite qu'il n'y en ait pas dans les autres partis politiques. On touche à l'intime, on touche à des convictions qui vous ont construit, des convictions religieuses. Le parti politique qui donnerait sur les lois de bioéthiques une consigne de vote n'aurait précisément pas une démarche éthique".
La démarche éthique serait déjà de conformer le projet de loi avec le respect des plus faibles, des enfants comme des embryons.
Mais cette liberté doit nous inciter à démarcher nos députés afin de leur faire prendre conscience des enjeux.
Ghalloun
Si une personnalité politique dit ce genre de phrase, c’est que :
1 / contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas évident.
2 / contrairement à ce qu’elle dit, c’est l’exact contraire qui est en train de se passer.
Ne prenons pas le personnel politique pour des nounours. Même si en l’occurence, c’est une femme.
Bernard
Ou comment la Franc-maçonnerie fait passer ses textes… Déjà la loi Veil en 74.