Le Comité des droits de l'homme de l'Organisation des Nations unies a estimé que l'Argentine s'était rendue coupable de « torture et traitement cruel, inhumain et dégradant » pour avoir laissé s'élever des obstacles face à la demande d'avortement non punissable déposée au nom d'une jeune handicapée, et pour avoir omis de lui procurer un tel avortement. Tous ces droits sont tirés du Pacte international pour les droits civiques et politiques de l'ONU.