Le président du Conseil national de l’ordre des médecins (Cnom), François Arnault, a déclaré :
« Si une assistance au suicide était acceptée, nous serons très attentifs : doit-il être accompagnateur ? Sûrement. Effectuer ? Je ne crois pas. Ce n’est pas son rôle ». « Et l’Ordre n’est pas favorable à l’euthanasie ». « Il faut que la loi protège le médecin dans l’accompagnement qu’il serait amené à faire ».
« Cela doit passer par une clause de conscience, à l’instar de celle qui existe pour l’interruption volontaire de grossesse, avec le devoir de réorienter le patient vers un médecin qui accepte de le prendre en charge ».
Plus largement, le président du Conseil de l’Ordre a jugé la France « très en retard » sur la fin de vie. Selon lui,
« il faut lutter contre ces inégalités d’accès aux soins palliatifs, par la formation, et déjà par l’application de la loi Claeys-Leonetti ».
Et il faut aussi protéger les personnes qui ne souhaitent pas être liquidées :
Un petit rappel fondamental aux sage du #CCNE
L'être humain est encore en vie en fin de vie. Avec mon handicap,ma souffrance je suis témoin que le désir de l'homme est de VIVRE sans souffrance. Sachons l'écouter sans lui mentir. Oui aux soins palliatifs,a mort l'euthanasie . pic.twitter.com/z6ORcoDMmz— Marc-Henri d'ALES (@dALES15) September 15, 2022
Ce qui adviendra après la loi “Fin de vie” :
1. Reportages pour saluer “l'acte d'amour” de ceux qui libèrent un lit dans un "hôpital sous tension”.
2. Débat : “la société doit-elle payer pour les moribonds qui refusent de partir ?”.
3. Déremboursement des soins palliatifs.— Xavier Van Lierde (@LierdeXavier) September 14, 2022
cadoudal
les évêques sont favorables à l ‘euthanasie des vieux tradis;
impossible de les recycler , alors on leur coupe l ‘oxygène.