Pendant qu’Emmanuel Macron annonçait du vent, voici l’information qui inquiète magistrats et policiers : la libération programmée de 148 djihadistes en France. Tristement révélateur de l’inaction totale de ce gouvernement et des précédents sur ce danger mortel pour la France.
“J’ai une vraie inquiétude. On va remettre en liberté des individus très dangereux.” Devant les parlementaires de la commission des lois, le procureur national antiterroriste (PNAT), Jean-François Ricard, n’a pas usé de périphrase. Le danger qu’il pointe se résume en quelques chiffres communiqués en fin de semaine par le ministère de l’Intérieur : en 2020, 45 condamnés pour des faits de terrorisme vont sortir de prison au terme de leur peine, dont cinq femmes. L’an prochain, ils seront 57, et 46 en 2022.
Et les années suivantes risquent d’être marquées par la sortie d’individus au parcours beaucoup plus lourd. Le magistrat n’est pas le seul à manifester sa crainte. La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), chef de file de la lutte antiterroriste, évoque aussi “un gros sujet de préoccupation”. Pour les services spécialisés, celui-ci a désormais pris le pas sur la question des revenants des ex-territoires de l’État islamique en Syrie et en Irak.
L’ensemble des responsables a en outre rappelé aux députés que la menace restait “très forte”. Plusieurs signes troublants ont été relevés dans la période récente : des réseaux de faux papiers et de domiciliation justifiant une situation de pré-alerte. Des détenus libérés, et toujours adeptes du djihad, pourraient y trouver un cadre pour fomenter de nouveaux attentats.
Le PNAT et les services de renseignement redoutent que le niveau de radicalisation des futurs ex-détenus n’ait pas été suffisamment mesuré, alors que le phénomène de l’islamisme en prison ne cesse de croître. À ce jour, 531 détenus sont considérés comme des terroristes islamistes (TIS). Il faut y ajouter 900 condamnés pour des faits de droits communs que l’administration pénitentiaire qualifie de “susceptibles de radicalisation”.
philippe paternot
et de poser à coté d’une femme au voile intégral, ceci dit elle ne faisait pas de doigt d’honneur!
DUPORT
Ce serait une erreur de se focaliser sur ceux là qui ne sont pas fondamentalement plus dangereux que la plupart de ceux qui pratiquent dans les mosquées radicales au sein même de notre territoire
Le problème c’est l’Islam lui même
https://www.youtube.com/watch?v=Odh8jUH_bcE
Collapsus
Tranquillement la 5°colonne prend position dans notre pays avec la complicité de nos dirigeants, juges, intellectuels et médias aux ordres. Ainsi se prépare la guerre civile qui immanquablement tôt ou tard va ravager la France. Quel supplice d’assister ainsi impuissant à toutes les phases constitutives de notre malheur à venir.
Nos aïeux ont vécu les mêmes affres en voyant Hitler se surarmer dans les années 30. Irrésistible et fatal recommencement des cycles historiques nous tirant vers les abysses.
F. JACQUEL
JUPITER ne va surtout pas parler des choses qui fâchent à moins de 4 semaines des municipales où le vote “communautaire” (surtout pas musulman) est d’une importance capitale au même titre que celui des bobos-gogos-écolos qui sont hypnotisés par ses discours creux et ses séances d’autosatisfaction (heureusement différentes de celles de Gris-veau). On a le sentiment d’une nouvelle version de Kaa dans le Livre de la Jungle : “Aie confiance ! Aie confiance !”
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Reine Tak
On va les libérer au prétexte qu’ils auront accompli leur peine et qu’il n’est pas possible de faire autrement.
Mais si la loi est mal faite il faut la reprendre et faire en sorte que ces barbares qui ont fait du terrorisme leur cheval de bataille soient mis hors d’état de nuire ; déchéance de leur nationalité s’ils sont Français de papier et renvoi dans un pays plus conforme à leurs valeurs. S’ils sont étrangers, il faut les mettre à la porte, illico presto. Cela représentera deux avantages : un peu de tranquillité pour les gens d’ici et cela videra nos prisons que les technocrates européens jugent trop pleines.