Lu sur VA :
Les banlieues aussi ont droit à leurs « marches des fiertés », ces grandes célébrations festives orchestrées par le lobby LGBT pour exposer ses revendications sociétales dans la rue. Ce dimanche 9 juin, la ville de Saint-Denis, en banlieue parisienne, a vu défiler plusieurs centaines de manifestants venus porter en étendard leur sexualité sous des drapeaux multicolores. Une première. L’initiative, lancée par l’association « Saint-Denis ville au cœur », avait pour but premier de lutter contre l’homophobie en banlieue. Avec des pincettes bien sûr pour ne pas « stigmatiser les banlieues populaires, alors que les LGBTQ+phobies existent partout, à la campagne et à Paris » selon les organisateurs, qui effectuaient là un exercice délicat : dénoncer l’homophobie présente dans les banlieues, sans la relier à un quelconque facteur social, culturel ou religieux. En somme, ménager la chèvre communautaire et le chou libéral-libertaire. Et (re)conquérir, sans en avoir l’air, ces quartiers populaires, délaissés par la République. […]
Les banderoles sont nombreuses. Plus rares sont les déguisements. Quant aux traditionnels chars, ils sembleraient qu’ils n’aient pas franchi le périphérique. La trajectoire dans la ville est d’ailleurs limitée à quelques rues commerçantes, à peine plus d’un kilomètre de marche, encadré par la police devant et derrière. […]
A Washington, une manifestation a eu quelques problèmes, mais internes… Les organisatrices de l’évènement avaient interdit le drapeau de la fierté juive – aux couleurs de l’arc-en-ciel et frappé de l’étoile de David – “trop ressemblant” au drapeau israélien considéré comme un “symbole nationaliste”. Le drapeau d’Israël représente “un gouvernement colonialiste, beaucoup de violence contre les Palestiniens”, a dit Yael Horowitz, l’une des organisatrices. Jonathan Greenblatt, directeur de l’association de lutte contre l’antisémitisme Anti-Defamation League (ADL), avait dénoncé une interdiction “purement et simplement antisémite”. La Commission juive américaine (AJC) avait pour sa part regretté qu'”en interdisant l’étoile juive, (les organisatrices) envoient un message de division aux membres de la communauté LGBTQ”. En 2017, des militantes juives avaient été expulsées d’une manifestation lesbienne à Chicago parce qu’elles arboraient ce drapeau, interdit par les organisateurs solidaires des manifestants pro-palestiniens. L’association National LGBTQ Task Force a suspendu son partenariat, regrettant que cela “détourne l’attention” du problème de gentrification subi par les minorités.
On a du mal à suivre les revendications LGBT…
Majeur
Les revendications de ces “idiots utiles”, et néfastes, sont harassantes et comiques. L’organisateur énumérait les catégories représentées; les particularités et attirances sexuelles bricolées. Toutes doublement discriminées car racisées. La liste était si variée que je m’étonne que n’y figurât point un sous-groupe de gauchers contrariés.
C.B.
J’ai l’impression, au vu des rares photos disponibles, que les “participant.e.s” étaient beaucoup moins dénudés et folkloriques (?) que dans les défilés parisiens antérieurs. Cela m’étonne (?)…
DUPORT
D’aller ainsi provoquer les banlieues avec une inconscience à peine croyable va rapidement porter ses fruits…
Un beau matin, l’exaspération étant à son comble, je tiens le pari qu’aucun des manifestants ne rentrera chez lui sain et sauf. Sans doute que ce jour là, les forces de l’ordre en paieront le prix…
Il n’y a pas de tolérance en islam qui ne reconnait même pas le droit de vivre aux LGBT ou aux athées.