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France : Politique en France

Macron s’en va-t-en guerre, mironton, tonton, mirontaine. Macron s’en va-t-en guerre, ne sait quand s’arrêtera (2/2)

Macron s’en va-t-en guerre, mironton, tonton, mirontaine.	Macron s’en va-t-en guerre, ne sait quand s’arrêtera (2/2)

Dans un premier temps, nous avons rappelé l’événement tout récent de signature entre la France et l’Ukraine d’un accord bilatéral de sécurité entre la France et l’Ukraine, pour une durée de 10 ans, que nous jugions peu rassurant.

Dans un deuxième temps, nous voulons rappeler quelques éléments en discussion sur le conflit russo-ukrainien, le rôle potentiel de la France et quelques autres perspectives.

Mais revenons à nos moutons. En fait, pourquoi la France est-elle engagée dans ce conflit ? Parce qu’après tout, on n’a pas forcément la mémoire du poisson rouge. On se rappelle les bombardements de l’OTAN sur la Serbie et la sécession du Kosovo soutenue par l’Union européenne ; on se rappelle même (M.Védrine au JDD, le 18/02/2024)

« l’avis de l’école réaliste américaine de la guerre froide, Kissinger et Brzezinsky, selon laquelle tout cet engrenage aurait pu être évité, à condition que, pendant la décennie 1990, les Etats-Unis aient mené une realpolitik plus intelligente pour intégrer la Russie. Non pas par amour pour la Russie, bien sûr, mais pour des raisons de sécurité. Cela n’a pas été tenté » ;

on se rappelle les promesses américaines de non-extension du domaine de l’OTAN.

On se rappelle [juste par analogie avec les référendums organisés par M.Poutine dans les territoires conquis en Ukraine orientale et qualifiés lors des discussions rapportées ci-dessus de fantoches par Mme Bergé et de grotesques par le député LIOT M. Panifous pour finir par

« des simulacres de scrutins organisés à la hâte en zones occupées, le Kremlin annexait en toute illégalité les territoires occupés dans les régions de Louhansk, Donestk, Zaporijjia et Kherson. Je le dis sans ambiguïté : le fait accompli ne fera jamais le droit, n’en déplaise aux propagandistes du Kremlin »

asséné par Mme Colonna le 3/10/2022,) le référendum dans les îles des Comores aboutissant au rattachement de Mayotte à la France contre la volonté des Comores :

(Avec le commentaire suivant : « Les partisans de l’indépendance pensaient que la France se conformerait au droit international concernant l’indivisibilité des entités coloniales. Le secrétaire d’État français aux DOM-TOM justifiait, le 26 juillet 1974, l’organisation d’une consultation globale dans l’archipel en disant qu’« on ne peut concevoir une pluralité de statuts pour les différentes îles de l’archipel ». Toutefois, la France, après la tenue de la consultation, ne va pas interpréter les résultats globalement mais île par île ».)

On se rappelle la révolution dite de Maïdan en 2015 à Kiev, ayant abouti (tiens donc !) au remplacement d’un président favorable à l’alliance avec la Russie par un dirigeant favorable à l’alliance avec les Etats-Unis, sans compter l’argent américain largement dépensé à l’époque (Mme Victoria Nuland) quoique, à n’en pas douter….,  uniquement pour des raisons humanitaires. On se rappelle encore les accords de Minsk, les promesses ukrainiennes et l’engagement franco-allemand non tenus. Les discriminations et violences à l’égard de populations dans les régions orientales de l’Ukraine. Et puis il y a eu des échos sur un accord possible entre l’Ukraine et la Russie qui aurait été torpillé par M.B.Johnson. Et puis on se rappelle un peu l’histoire millénaire tant de l’Ukraine que de la Russie, on sait les appartenances et parentés linguistiques et culturelles. Et puis on a entendu un certain nombre d’informations sur les intérêts des grandes sociétés américaines en Ukraine et vis-à-vis de l’extension de l’OTAN, autrement dit de l’extension du domaine des armements made in USA…

Alors, on veut bien croire comme écrit dans l’accord décennal fraîchement signé que la France et l’Ukraine de M.Zélensky « reconnaissent « que l’invasion à grande échelle, illégale et non provoquée de l’Ukraine par la Russie constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales et une violation flagrante du droit international, notamment de la Charte des Nations Unies ». Mais au final, pourquoi cet engagement chaque jour plus fortement souligné par M.Macron (comme par les membres de la Commission européenne) en faveur de l’Ukraine ?

La situation est-elle la même que celle de l’Europe en 1938 comme l’ont laissé entendre certains intervenants lors des débats ?

  • Benjamin Haddad le 3/10/2022 : « Pourquoi se battre pour un petit pays si lointain dont nous savons si peu ? » se demandent-ils comme Neville Chamberlain à Munich. « Mourir pour Dantzig, non ! » s’exclament-ils comme Marcel Déat en 1938 ».
  • Ou Mme Ménard : « Son invasion de l’Ukraine nous rappelle l’annexion des Sudètes et de l’Autriche ».
  • Ou encore M.Thiériot : « Qu’on ne vienne pas dire que c’est là prolonger la guerre : heureusement que le Royaume-Uni n’avait pas opposé un tel argument à la France libre ! Ayons à l’esprit les appels déchirants et désespérés des maquisards du Vercors qui demandaient en vain des livraisons d’armes ; ceux d’Izioum et de Lyman sont pour nous les frères de ceux du Vercors…  La référence aux années 1930 est souvent une paresse de l’esprit, mais qui songe à la rhétorique russe du « diktat occidental », aux coups de bluff réussis de Géorgie ou de Crimée, à l’obsédante question des minorités et du redécoupage des frontières, ne saurait échapper aux parallèles vertigineux avec la remilitarisation de la Rhénanie, l’Anschluss et les accords de Munich. Il est peut-être plus tard que nous ne le pensons. Qu’il eût mieux valu se réarmer en 1936 plutôt que d’attendre 1938 !»

Autrement dit, M.Poutine est-il Hitler et le régime politique russe est-il le régime nazi ? Et selon la réponse qu’on donnera à cette question, on aboutira à des décisions et à des actions différentes.

Il y a en tout cas actuellement clairement deux positions différentes :

La première position est celle de M.Macron d’un soutien jusqu’à la défaite de la Russie, symbolisée par la signature de cet accord, qui est d’ailleurs dupliquée par les autres pays du G7 ; et qui, parmi les partis politiques français, semble être en particulier soutenue par le Parti socialiste. Par Mme Valérie Rabault lors du débat du 3/10/2022 :

« Face à ces menaces, madame la Première ministre, nous pensons que la France doit renforcer son soutien à l’Ukraine. Nous pensons que la France doit fortement augmenter sa fourniture d’armes, dont le montant actuel est d’environ 300 millions d’euros. Nous demandons qu’elle étende le champ des armes livrées aux missiles sol-air, que seuls cinq pays du monde sont capables de fournir à l’Ukraine. Ce sont les États-Unis qui assurent l’essentiel des livraisons d’armes ; l’Europe doit monter au créneau et prendre sa part. Sinon, elle ne sera jamais un acteur géopolitique crédible. La France doit augmenter son soutien financier. Le cumul de son aide directe et de ce qu’elle donne par l’intermédiaire de l’Union européenne représente 0,14 % du PIB, ce qui est inférieur à l’aide consentie par de nombreux autres pays de l’Union européenne. »

Et de façon nettement plus hystérique (nous sortons du champ de l’Assemblée nationale) par le représentant du Parti socialiste aux prochaines élections européennes, M. R. Glucksmann, lors d’un entretien sur RMC le 19/02/2024. Glucksmann apparaît obnubilé par la mise de nos économies en économie de guerre.

A la question sur le Danemark qui a décidé de fournir toutes ses munitions disponibles à l’Ukraine immédiatement, « faut-il que les autres pays fassent la même chose ? » (vers 15’), il répond :

« Il le faut. Ce qui est absolument fou, c’est que ça fait deux ans que cette guerre a commencé et que l’invasion totale [sic] a eu lieu et qu’on n’a toujours pas augmenté nos capacités de production, qu’on n’a toujours pas passé l’économie en mode économie de guerre. Ce qui est fou, c’est qu’aujourd’hui sur le front ukrainien, les ukrainiens peuvent tirer 1000 obus par jour quand les russes en tirent 10 000 par jour et qu’on a un ministre de la défense en France qui s’enorgueillit du fait quela France puisse livrer 3000 obus par mois ».

Et encore à 17’30 :

«  Si on avait un leadership courageux qui comprend les enjeux, on devrait passer en économie de guerre. »

Et de parler de 800 000 obus disponibles sur le marché international qu’on pourrait acheter collectivement pour les fournir à l’Ukraine. Et de finir par exprimer une peur panique de la fin éventuelle du support américain en cas de victoire de Trump :

« Nous sommes démunis, nous sommes à poil. Nous n’avons pas les capacités industrielles pour faire face seuls à une telle situation. On doit devenir les producteurs de notre propre sécurité ».

Et nous qui pensions qu’on était dans l’Union européenne parce qu’on était plus fort !

La deuxième position a été exprimée par un député RN lors du débat du 3/10/2022, M.A. Jolly :

« C’est ce choix de l’équilibre et de la troisième voie que doit faire la France pour retrouver sa place dans le concert des nations. La politique de sanctions sur les produits énergétiques n’a pas produit les fruits attendus. La Russie n’a pas renoncé et ses exportations de combustibles fossiles lui ont rapporté 158 milliards d’euros lors des premiers mois de la guerre. L’ensemble des puissances asiatiques, sud-américaines et africaines continuent de commercer de façon habituelle avec elle et, pire encore, nous sommes finalement les dindons de la farce dans ce jeu en triangle qui voit la Russie vendre ses hydrocarbures à d’autres pays, ceux-ci s’empressant ensuite de nous les revendre trois fois plus cher. De telles décisions affaiblissent les économies des pays d’Europe, et nous n’en sommes qu’au début ! Quant à l’extrême centre, représenté ici par la non-majorité présidentielle, les Français se rappelleront que vous avez foncé tête baissée et appliqué une politique internationale de sanctions sur l’énergie aussi inutile que contraire à nos intérêts nationaux. Sans obtenir aucun résultat sur le plan diplomatique… Dans un contexte si tendu, nous ne devons avoir qu’un seul objectif : éviter l’extension d’un conflit dont les Français – à commencer par nos familles – ont tant à craindre. Il est temps de mettre un terme à l’escalade. L’heure est au dialogue réel et à l’apaisement, pour permettre à l’Ukraine et à la Russie d’en finir rapidement et de panser leurs blessures ».

Et donc, combattre pour quoi ?

Pour soutenir l’Ukraine (mais sans être cobelligérant) comme affirmé par M.Lecornu, ministre de la Défense ? Faut-il, comme il le dit, croire que M.Poutine est vraiment agressif à l’encontre de la France ?

Et puis, comment gérer l’engrenage éventuel ? M. Védrine, dans le même entretien au JDD, expliquait en même temps sans paraître se formaliser de quelque contradiction dans son raisonnement, que

« depuis l’attaque de Poutine contre l’Ukraine en 2022, je suis favorable à la ligne Biden : empêcher par tous les moyens Vladimir Poutin de gagner en Ukraine, sans se laisser entraîner dans une guerre directe avec la Russie »

et

« Quant à l’offensive russe, si elle s’avérait en mesure d’enfoncer les défenses ukrainiennes, les Etats-Unis et l’Europe seraient obligés de s’engager davantage ».

Parce que la victoire russe impliquerait qu’ « il n’y a plus aucun cadre ni architecture de sécurité sur notre continent » comme affirmé par M.Macron devant les Suédois ? :

« Premièrement, nous devrons être prêts à agir, à défendre et à soutenir l’Ukraine quoi qu’il arrive, et quelle que soit la décision des États-Unis. … Et nous devons suivre la ligne de la stratégie actuelle, qu’il est impossible pour nous tous de voir la Russie gagner cette guerre, car il n’y a plus aucun cadre ni architecture de sécurité sur notre continent s’il y a une victoire russe ».

Pourquoi adhérer à une telle position de principe ?

Pour les fameuses valeurs républicaines et contre une hégémonie russe qui serait sans limite, comme affirmé par Mme Borne à l’Assemblée nationale ?

« Cette guerre, c’est une lutte pour nos valeurs. Vendredi dernier, Vladimir Poutine l’a lui-même reconnu : c’est notre modèle démocratique qu’il attaque, ce sont les droits de l’homme qu’il remet en cause. Poutine n’accepte pas de voir la démocratie s’imposer peu à peu à ses frontières ; alors, il veut intimider et écraser ceux qui y aspirent. Le message du Kremlin est clair : gare à ceux qui voudraient s’émanciper de son joug, gare à tous ceux qui croient en autre chose que l’hégémonie russe ».

Pour défendre une cause juste, comme affirmé par notre charismatique ministre des Affaires étrangères, M.Séjourné, le 13/02/2024 à l’Assemblée nationale ?

« Soutenir l’Ukraine, c’est défendre une cause juste, celle d’un pays agressé dans sa souveraineté, celle d’une démocratie violentée par une autocratie aux rêves d’empire ».

Parce que la France est elle-même menacée, comme longuement affirmé par le même M.Glucksmann, sans filtre ?

« C’est pas simplement une guerre entre la Russie et l’Ukraine… C’est une guerre hybride d’attaque contre nos démocraties que mène Poutine, contre la France, contre l’Allemagne. La guerre qu’il mène, ce n’est pas une guerre contre l’Ukraine, c’est une guerre contre ce qu’ils appellent l’Occident collectif… On ne le ferait pas simplement par solidarité et par morale, on le ferait par intelligence et par égoïsme, même ; parce qu’on sait que c’est notre intérêt vital… Si vous voulez vous éviter que des soldats français aient à crever, eh bien il faut aujourd’hui aider que crèvent pour nous autant que pour eux, c’est-à-dire les ukrainiens sur le front… [sic !] Nous ferons des économies en faisant des investissements sur la résistance ukrainienne ».

M.Glucksmann le rappelant dans un tweet :

Au final, où sont les vrais intérêts de la France ? Pour être honnête, quand on voit la capacité macronienne à flatter la Commission européenne, l’Allemagne, l’OTAN et les Etats-Unis, et quand on voit la production anti-russe de toutes ces entités, nous ne sentons pas vraiment en confiance pour aboutir à leur claire évaluation. Et le tweet de M.Chiche, professeur de philosophie dont nous suivons le compte X, met en relief un dernier point : peut-être bien que le soutien du Parlement à toute cette politique jusqu’à présent ne serait pas –comme dans tant d’autres domaines- le reflet de la volonté générale.

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11 commentaires

  1. On est gouverné par un cinglé élu par une minorité de cinglés.

    • @Janot
      Je dirais plutôt “élu par une majorité de cinglés” : ceux qui n’ont pas voté pour lui au 1er tour, ceux qui ont voté, par peur (“c’est moi ou le chaos”) pour lui au 2nd tour et tous ceux qui se sont abstenus, sont tout sauf cinglés. Mais ce sont eux qui sont désormais obligés de payer la casse.

  2. J’ai eu la curiosité de télécharger le document de l’accord entre ZÈLE-EN-SKI et le pâle toqué élyséen.
    Un paragraphe est réconfortant :
    “Les Participants s’efforceront de faire en sorte que les capacités militaires de l’Ukraine soient d’un niveau tel qu’en cas d’agression militaire extérieure contre la France, l’Ukraine soit en mesure de fournir une assistance militaire efficace. Les modalités, le format et la portée de cette assistance seront déterminés par les Participants.”
    Une bonne nouvelle, donc : si Vladimir vient nous envahir, Volodymyr accourera à toute vitesse pour nous défendre !
    Par le passé, on a vu d’autres traités de défense mutuelle et leur efficacité.

  3. L’affaire de Soulèvement de la Terre au Salon de l’agriculture est symptomatique de la nullité du guignol de l’Elysée : il ne contrôle même pas son service communication, comment peut-il gouverner la France…

  4. Cette diabolisation de Poutine en le comparant à Hitler initiée par les USA est délirante et meurtrière. Prêter au premier des velléités impérialistes sur l’Europe semblables à celles du second procède d’un maquillage ou d’une méconnaissance totale de l’Histoire et des équilibres géostratégiques sur ce continent sans évoquer même les dissemblances sur le plan des moyens militaires et la dissuasion nucléaire qui n’existait pas à l’époque d’Hitler.
    Il est évident que Poutine n’a ni le désir ni les moyens d’une généralisation du conflit et cette volonté de nous faire croire à un tel embrasement participe de la stratégie d’installer un climat de peur favorisant le contrôle de l’opinion publique. Dans quel but ? Là est la question fondamentale.
    Macron n’est qu’un petit va-t-en-guerre sans moyens et une marionnette prétentieuse dans les mains des USA et de la CIA. Espérons que les autres pays européens finiront pas se lasser de ce conflit dans lequel les entraîne malgré eux ce pitre gâteux mais dangereux de Biden.

  5. Qu’on le veuille ou non, c’est bien ce dangereux personnage qu’est Poutine et sa clique qui ont agressé l’Ukraine !

    De même que c’est l’Otan va-t-en-guerre qui avait agressé la Serbie !

    1 partout, la balle au centre ! pourrait-on dire s’il n’y avait pas ces populations civiles qui n’ont rien demandé au milieu de tout ça : De pauvres enfants, de pauvres vieillards dans le froid … C’est toujours la même histoire de déchéance humaine et d’un ballet de pauvres c… qui se prennent au sérieux; Poutine et Soros en tête !

    • Sur l’Ukraine, vous êtes intoxiqué par la propagande américaine. Avez-vous jamais entendu parler des accords de Minsk de 2014 que l’Ukraine a violés dès le lendemain de leur signature ?…

    • Je crains que la réalité ne soit pas si simple. Écoutez, si ce n’est déjà fait, l’interview de Poutine par Carlson. Ou cette analyse de Jacques Baud, longue mais très instructive, et prémonitoire car elle date de 2021, expliquant la manipulation de l’opinion par les USA : https://youtu.be/Wec5V-OQKyM?si=KZcI3iXTOmLXQjiw

  6. Macron a dit qu’il s’engageait à soutenir l’Ukraine pendant 10 ans, soit 2034, sauf q’il n’en a pas le droit : il peut engager la France jusqu’en 2027, comme chef des armées, mais après, il ne sera plus là.

  7. Meloni a montré comment un parti d’extrême-droite peut arriver au pouvoir : par le soutien à l’OTAN contre la menace russe.

    Du reste, ça ne mange pas de pain, yorarien. Dans 2 ans, le front n’aura toujours pas bougé de plus de 20 kilomètres.

    Et l’autre branche de l’alternative (montrer la moindre hésitation à lutter contre la menace russe) est un suicide politique en période électorale en plein paroxysme anti-russe. Zemmour l’a bien démontré en 2022 et l’extrême-centre est bien conscient que c’est son unique argument pertinent contre le RN.

  8. Tous ces mensonges, manipulations, mauvaise foi, propagande et culture de la mort ne sont compréhensibles que si on les met en relation avec le satanisme qui les porte (pour comprendre au minimum : https://odysee.com/@OptymusCynix:a/Dans-le-terrier-du-Lapin-Blanc:26 ) et qui se manifeste ici via l’otan qui n’est que le ministère de la guerre des mondialistes et via le W6rld Ec6nomic. F6rum qui a bien décrit le futur qu’il nous projette. Il suffit d’écouter Yuval Noah Harari ( en fait, ils n’ont plus besoin des humains, surtout ceux avec une âme, donc ils leur faut trouver une solution et tout est bon : déstabilisation des pays (Irak, Maidan…), fraude électorale (nomination de youngs leaders), avortement, euthanazie, injections, suicides, guerres…pour atteindre les 500 millions d’habitants des Georgia Guidestones). Leur orgueil et leur mépris fait qu’ils ont tout dit ou écrit. Prenons donc du recul pour avoir une vue d’ensemble des différentes pièces du puzzle car tout est lié. Le combat est avant tout spirituel; ils ont leurs rites : les sacrifices humains et nous les nôtres, et prions pour la paix et la victoire de la Vérité.

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