Lu ici :
"Un braqueur et un violeur présumés, qui devaient être jugés dans des affaires distinctes lundi après-midi en comparution immédiate au tribunal de Papeete, ont été relâchés par la présidente alors que le représentant du ministère public avait quelques minutes de retard (…)
Le violeur présumé est un multirécidiviste, soupçonné de nombreuses agressions sexuelles sur son ex-compagne, enceinte de six mois. Il l'aurait menacée de mort et violée samedi soir, alors qu'il lui est interdit de l'approcher. "Je suis sûre qu'il va retourner la voir dès ce soir", s'est indignée son avocate, Me Aurélie Reynaud, auprès de l'AFP. "Ça nuit gravement à l'image de la justice, c'est honteux, c'est scandaleux", a-t-elle estimé."
Exupéry
Christiane Taubira formate ladite justice française selon ses convictions intimes…
Elle a été choisie pour cela par nos dirigeants socialistes.
René Clémenti
Depuis Taubira, absolument rien ne peut plus “nuire gravement à l’image de la justice”. Un cadavre ne craint plus rien, même la pire maladie!
Stephe
le nom de la “présidente” est secret défense?
coco
Quelle honte!!!!
Chantal de Thoury
Decidement cette femme est possédée par les demons. Elle a besoin d’être exorcisée.
En attendant les veilleurs de la place Vendôme pourraient deposer médailles benites de St Benoît, de St Michel,et médaille miraculeuse autour du pâté de maison englobant son ministère et asperges toutes les entrées d’eau bénite. Quand les moyens humains ne fonctionnent pas il faut prendre les moyens divins prières pénitence et sacramentels.
Semper Fidelis
Ce qui me fait bondir, ce n’est pas tant ce que fait la gôche-bobo-progressiste anti-française, qui agit selon ses idées, ses convictions, ses caprices et ses délires, sans jamais se soucier des conséquences… C’est la droite, la soi-disant droite, totalement inexistante, sourde, aveugle, muette, escouillée (comme dirait Rabelais ou Villon), qui tremble comme une feuille dès que la rue de Solferino fronçe les sourcils, qui bêle avec les médias, qui s’applatit comme une limande devant les ukases de Bruxelles ou de Washington, c’est cela qui me rends fou de rage !
Mon général, Seguin, Pasqua revenez !