Enfin une voix dissonante parmi les réactions des personnalités politiques ! Comment se fait-il que personne n’ose pointer du doigt l’instrumentalisation politique de la Résistance faite par Emmanuel Macron en toute complicité avec le parti communiste “français”.
En France, on ne rend hommage qu’à la Résistance communiste.
Avec la panthéonisation de #Manouchian, j’aurais aimé qu’un grand résistant soit également célébré : Honoré d’Estienne d’Orves, qui avait peut-être le tort d’être catholique et monarchiste. pic.twitter.com/67ZqOizcPs
— Marion Maréchal (@MarionMarechal) February 22, 2024
Pour compléter cette réflexion, Le Figaro a publié un texte de Stéphane Courtois très instructif sur le rôle du part communiste “français” durant l’Occupation dans lequel il dénonce le mythe des 75 000 fusillés et relativise le rôle réel de Michel Manouchian, que tout le monde appelle Manik alors qu’il signe sa dernière lettre avec le prénom français qu’il avait choisi pur s’assimiler (comme quoi…) :
le 18 juin 1940, alors que de Gaulle lançait l’appel du 18 juin, le PCF, fidèle au pacte Hitler/Staline, négociait avec l’occupant nazi la parution de l’Humanité…
Et c’est ce journal collaborationniste qui prétend donner des brevets de résistance 😂😂🤡 pic.twitter.com/Dm39vXKdjs— Arthur Cohen 🇫🇷🎗️ (@ActuPolitiqueN) February 21, 2024
EtiennedeVignolles
Foutaise que tout cela ! Les communistes ont majoritairement été des “résistants” tardifs, visant, non pas à défendre les valeurs de la France multimillénaire, mais à défendre l’universalisme communiste attaqué en juin 1941 par le régime socialiste allemand dans le cadre de l’opération Barbarossa ! Dès 1939, les voix qui se sont élevées contre le Nazisme comme force politique et étatique, étaient celles du côté de la droite catholique et parfois monarchique.
De toutes les façons, ce Panthéon, est une plaisanterie de la part d’un système politique (ici république française) qui cherche à s’acheter des valeurs et une histoire, alors même qu’il est né dans le sang et dans la terreur, qui est son ADN…
F. JACQUEL
Après son interview à vomir dans l’Humanité, où il crache sur les 42% de Français qui ont voté pour le RN au 2nd tour des Présidentielles avant d’envoyer 89 députés à l’Assemblée nationale, le pâle toqué élyséen a salué sans vergogne l’héroïsme du seul parti qui se proclame Français et qui, de sa fondation jusqu’à la chute de l’URSS a été financé par le PCUS, aux ordres duquel il s’est toujours soumis sans murmure. Allant jusqu’à définir un bilan globalement positif de l’URSS lors de son invasion de l’Afghanistan.
Espère-t-il récupérer les voix communistes le 9 juin prochain dans une sorte de vote utile pour faire pièce au RN ou R! ?