Pour justifier des violences, le syndicat affirme avoir fait l'objet de provocations d'un militant appartenant à un mouvement hostile à la Gay Pride. Ce "militant", qui prenait des photos, n'était autre qu'un journaliste de La Nouvelle République. Lequel ajoute par ailleurs :
"Je m'étais positionné devant ce bar, dont je ne connaissais pas l'existence quelques heures auparavant, parce qu'on m'avait dit qu'il abritait parfois des « crânes rasés » qui risquaient de perturber le défilé. J'étais donc place Gaston-Paillhou, pour faire des photos de la façade du bar et des manifestants au moment de leur passage devant le fameux bar."
Le pauvre n'a pas été victime des "crânes rasés", invisibles dans cette histoire, mais des syndicalistes de Sud, promoteurs de l'homosexualisme.