Il y a 8 semaines, Manuel Valls déclarait la ferme opposition de son gouvernement à la GPA et sa farouche volonté de lutte contre cette « commercialisation de l’être humain ». Il ajoutait que, sous l’impulsion du président de la République, le ministre des Affaires Etrangères allait mettre sur pied des initiatives internationales pour combattre la GPA au niveau international.
Et bla bla bla : 8 semaines plus tard, pas le moindre début d’initiative, même nationale, pour lutter contre la GPA.