Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"C'est la pratique courante dans le cadre de la fécondation in vitro : parmi les ovules fécondés, les techniciens ne retiennent pour l'implantation ou la congélation que ceux qui ont bon aspect – on jette les autres – ou, dans le cadre d'un diagnostic préimplantatoire, ceux qui passent avec succès les examens chromosomiques réalisés sur une cellule prélevée alors que l'embryon n'a qu'un tout petit nombre de cellules. On détruit tous ceux qui présentent une anomalie du nombre des chromosomes. Une récente étude citée par Human Life International révèle pourtant que les embryons de trois jours présentant de telles anomalies sont capables de s'auto-guérir spontanément. […] Cette guérison se produit, de façon remarquable, en dehors de toute intervention extérieure : ces embryons sont en dehors du sein maternel, et c'est d'eux-mêmes, si l'on peut dire, qu'ils « pilotent » leur propre guérison. Tout comme plus tard le corps humain réagira face à une infection par des processus de guérison qui sont inscrits dans ses cellules elles-mêmes…"
Et c'est cela qu'ils congèlent ou détruisent au gré de leurs expériences.