Stefano Paternò, un marin de 43 ans, est décédé le 8 mars 2021, 12 heures seulement après l’administration du vaccin d’Astrazeneca, des suites d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë.
Le tribunal italien a rejeté les accusations portées contre Astrazeneca et les professionnels de santé qui ont injecté le vaccin. Personne n’est coupable, mais la sentence, bien que honteuse, confirme que la mort a été causée par le vaccin.
Au cours de l’enquête, le ministère public a constaté que l’homme avait été atteint de COVID sous une forme asymptomatique. Mais le parquet a pu établir que la mort de Paternò était due au vaccin, au point que le même procureur a écrit que la mort due à l’inoculation pouvait être soutenue avec une “certitude raisonnable”. Mais tout cela n’a pas suffi à condamner un responsable, à tel point que c’est le même procureur qui a demandé l’archivage de l’affaire. Ce ne pouvait être ni le fabricant, qui a d’ailleurs pu démontrer qu’il avait obtenu une garantie, par contrat, sur laquelle l’État italien assumait toute la responsabilité du fabricant, ni les travailleurs sanitaires, parce qu’ils sont blindés par un bouclier pénal qui représente un cadre insurmontable pour la recherche des responsabilités. Il en va de même pour l’État qui, en rejetant la responsabilité sur les pauvres citoyens, leur a en fait laissé la charge de la preuve, la vie sur le terrain et le fardeau d’avoir à la prouver.
Il s’ensuit, en résumé, que les victimes du vaccin décédées à la suite de l’injection ont été condamnées à mort en signant l’autorisation de vaccination, extorquée par la menace perverse de la perte de leur emploi et de leur vie sociale.
C’est, d’une part, une lecture honteuse des événements car, par cette décision, on affirme en substance que le fait s’est produit, c’est-à-dire la mort par vaccin, mais que personne n’en est responsable.
L’affaire Paternò terminée, il reste sur le terrain des milliers de maladies, de handicaps et de décès liés aux vaccins, à propos desquels il ne sera plus possible de faire comme si rien ne s’était passé. Maintenant qu’un tribunal a affirmé que le vaccin tue, il se peut que de nombreux autres tribunaux soient contraints d’affirmer cette simple vérité. Et au vu du nombre d’affaires pendantes devant les tribunaux aujourd’hui, cela pourrait représenter un tsunami, car des affaires comme celle de Paternò sont pleines de cabinets d’avocats. Cela ne condamnera peut-être personne, mais cela pourrait mettre un point final à l’opération la plus honteuse de privation de liberté et de tromperie massive dont ont été victimes des citoyens italiens depuis la Seconde Guerre mondiale.
Philippe de Geofroy
Si la responsabilité du vaccin a été reconnue et qu’il n’y a pas d’indemnisation c’est un problème de justice et de justice italienne. En France l’indemnisation des patients victimes d’effets secondaires du vaccin contre le covid par l’ONIAM a débuté. Selon un rapport du Sénat du mois de juillet dernier cet organisme a reçu environ 1000 demandes dont un quart avait été traité à l’époque. L’imputabilité du vaccin est quasiment certaine quand il s’agit d’un accident cardiovasculaire survenant très rapidement après l’injection chez un sujet jeune (donc a priori sans risque cardiovasculaire). Elle est plus difficile à prouver quand il s’agit d’un sujet plus âgé (par définition plus susceptible de faire un accident cardiovasculaire de façon « naturelle ») et que cet accident survient à distance de l’injection.
christianlair
Il y aurait 1000 morts demain matin par ce poison qu’ils oseraient encore nier l’évidence ! ! ! Tout ça est à vomir !…….
Philippe de Geofroy
Vous répondez à côté du problème posé. Si vous lisez l’article vous verrez que la responsabilité du vaccin a été retenue. C’est sur la désignation de l’organisme chargé de l’indemnisation qu’il semble y avoir des difficultés.
Michel
Le vaccin est responsable mais non le médecin qui a fait l’injection, ni les gouvernants qui ont encouragé les vaccinations et empêché les traitements, ni surtout les laboratoires pharmaceutiques qui se sont enrichis avec la vente de leurs poisons … On appelle ça la “justice” : sans doute la “justice” mafieuse !…