Si l'«histoire ne repasse pas les plats», elle ressert souvent des mets au goût très amer. En laissant l'Arménie – ne parlons même pas de l'Artsakh – être chaque jour un peu plus détruite par la Turquie et l'Azerbaïdjan, tablant qu'ainsi, elle lui serait d'autant plus servilement soumise, Vladimir Poutine commet mutatis mutandis la même erreur concédée il y a mille ans par l'empereur byzantin Basile II le Macédonien (976-1025).
Chers amis, Ce confinement a été pour nous un peu comme une retraite pour réfléchir et travailler sur la stratégie à mettre en place dans les prochains mois pour faire avancer la culture de vie, restaurer nos libertés, promouvoir notre identité et faire avancer le Règne de Notre-Seigneur dans nos […]
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.