Environnement

Chapitre 10 : GIEC, Climat & fin du monde, conclusion.

La nécessite de remettre en cause le discours entendu sur la variation climatique est d’autant plus licite que les prévisions du GIEC se sont révélées jusqu’à maintenant soit complètement fausses, soit comme se situant dans les valeurs basses projetées. Or, nos civilisations sont mises sous contraintes financières, et nos libertés diminuées, pour une catastrophe potentielle qui, non seulement en l’état des mesures n’existe pas (+1°C en 170 ans), mais également dont les prévisions à 50 ans, et plus, sont mises à mal par l’organisme même qui les promeut. « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que la prédiction à long terme des états climatiques futurs n'est pas possible. », rapport AR3 -climate change- du GIEC, chapitre 14.2...[Lire plus]

Chapitre 8 : Les prévisions du GIEC se vérifient-elles ?

« Une étude récente nous avertit que la banquise pourrait avoir complètement disparu l’été dans 7 ans seulement. », Al Gore, corécipiendaire du Nobel de la paix avec le GIEC, discours de décembre 2007. « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que la prédiction à long terme des états climatiques futurs n'est pas possible. », rapport AR3 -climate change 2001- du GIEC, chapitre 14.2.2.2. (page 774) (0).

Chapitre 7 : Nous notons depuis une vingtaine d’année une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?

Bien plus précis que les chiffres donnés par le GIEC ou encore par les nombreux articles de presse sur le sujet, il existe un indicateur qui constitue incontestablement le meilleur reflet de la réalité. Indicateur dont curieusement, ou pas, on ne vous parle jamais, les médias s’en faisant que très rarement l’écho. Et pour le trouver, il faut se tourner vers les assureurs !

Chapitre 6 : Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?

Mais que s’est-il donc passé pour que les pays occidentaux passent ainsi d’une vérité scientifique (le CO2 ne peut pas être responsable d’une variation de température à la hausse), à un dogme ? Pourquoi une telle focalisation sur le carbone, à tel point que l’on parle maintenant « d’énergie décarbonée », pour évoquer les productions non-fossiles ? C’est une partie qui se joue en trois temps.

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