L’exposition publique scandaleuse au cœur de Paris dans le plus grand centre d’art européen, (largement financée par nos impôts) sous prétexte de liberté d’expression ou de liberté artistique, présente une peinture pédophile (que je ne peux qualifier d’œuvre) décrite comme libération extériorisée de la souffrance de l’auteur (que je ne peux qualifier d’artiste). Les adeptes de la « libération des mœurs » en particulier une certaine presse qui se dit « progressiste », par une sorte de validation malsaine de cet étalage infâme, font une fois encore la promotion de la pédocriminalité en consacrant par une critique favorable à ce genre d’exhibition, cette exposition innommable.
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