Nos polices et gendarmeries sont sollicitées chaque jour depuis plusieurs semaines pour intervenir sur les violences urbaines dues à la brutalité de nos gestionnaires gouvernementaux, incapables de négocier et de mettre les organisations représentatives autour d’une table pour tenter d’arriver à un compromis par le dialogue en générant un consensus (même improbable) entre les différentes parties. Ils auraient pu ainsi soumettre au parlement un texte écrit par les premiers intéressés. Le bon sens, donc l’idéal pour débattre et légiférer, serait un collège représentatif de tous les acteurs laborieux, des entrepreneurs aux ouvriers et salariés, des professions libérales aux artisans, commerçants et paysans comme je le proposerai dans un pacte national à venir.
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