Des guitares dans le sanctuaire, des refrains sucrés à la place du Crux fidelis : sous couvert de modernité, la liturgie s’est faite conviviale et plate, troquant la théologie pour la sociologie. Les cantiques des années 70-90 révèlent moins la ferveur que l’acculturation spirituelle. Il est temps de retrouver, face à ce naufrage esthétique, la grandeur du chant sacré — prière incarnée et école du beau.
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